Rafah/Égypte – CPI
Samedi, le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a appelé à « inonder » la bande de Gaza d’une aide réelle et vitale, soulignant que le moment était venu d’un cessez-le-feu « humanitaire » dans la bande de Gaza.
Guterres a déclaré lors d’une conférence de presse tenue du côté égyptien du terminal de Rafah, adjacent à la bande de Gaza : « Il y a de longues files de camions qui attendent à Rafah, et de l’autre côté, il y a des gens qui souffrent de la famine, et nous ne devons pas nous rendre et faisons tout ce que nous pouvons pour que l’humanité prévale à Gaza.
Il a ajouté : « Je représente la majorité des voix de la communauté internationale qui réclament un cessez-le-feu et l’entrée de l’aide à Gaza ».
Il a appelé le gouvernement de l’entité usurpatrice sioniste (Israël) à s’engager fermement en faveur du libre accès des biens humanitaires à toutes les régions de Gaza, à la libération des otages dans la bande de Gaza.
Guterres a déclaré : « Il se réjouit de continuer à travailler avec l’Égypte pour faciliter l’entrée de l’aide, et il apprécie profondément son plein engagement à soutenir la population de Gaza.
Le Secrétaire général des Nations Unies est arrivé aujourd’hui à Al-Arish, en Égypte, à côté de la bande de Gaza, où il a inspecté les Palestiniens blessés à l’hôpital de la ville.
Farhan Haq, porte-parole adjoint de Guterres, a déclaré lors d’une précédente conférence de presse que le Secrétaire général rencontrerait des travailleurs humanitaires de l’ONU du côté égyptien de la frontière de Rafah.
Guterres se rendra ensuite en Jordanie, où il visitera les installations de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) et prendra un petit-déjeuner de Ramadan avec des réfugiés palestiniens et des employés des Nations Unies dans la capitale, Amman, selon la même source. .
L’armée d’occupation néonazie sioniste mène une guerre dévastatrice contre Gaza, depuis le 7 octobre 2023, faisant des dizaines de milliers de victimes civiles, pour la plupart des enfants et des femmes, en plus de destructions massives, selon les données palestiniennes et onusiennes, ce qui a conduit l’ennemi occupant sioniste d’être traduit, pour la 1e fois, devant la Cour internationale de Justice pour avoir commis un « génocide ».
