Gaza – Centre d’information palestinien
Plus de 212 jours après l’agression sioniste contre Gaza, le chef du Conseil de guerre, Benjamin Netanyahu, continue son intransigeance dans la conclusion d’un accord pour arrêter la guerre et rendre les prisonniers, chassant ses peurs et sa terreur révélées à la fin de la guerre et la fin de son avenir politique une fois terminé ce chapitre sanglant du génocide qu’il mène, et auquel il est devenu sensible par peur de ses répercussions après avoir été frappé d’hystérie et d’obsession, selon la description des médias hébreux , à cause de la possibilité que des mandats d’arrêt soient émis contre lui et les dirigeants de l’entité par la Cour pénale internationale, alors que les pertes pour cette l’entité sioniste et ses partisans se poursuivent, et que leurs mensonges et leur fausseté ainsi que tous les mensonges et tromperies qu’ils promeuvent sont révélés.
Ces craintes ont poussé Netanyahu à poursuivre ses attaques contre la Cour et à la menacer en disant : Un scandale pourrait survenir à la Cour pénale internationale en émettant des mandats d’arrêt contre des responsables sionistes. Cependant, il ne cache pas ses des conséquences d’une telle décision. Il confirme – dans un discours à l’occasion de l’anniversaire de l’Holocauste – que la Cour pénale internationale de La Haye a été créée contre le contexte de l’Holocauste et d’autres atrocités, ce qui indique que le tribunal cherche désormais à émettre des mandats d’arrêt contre les dirigeants de l’État sioniste, « ce qui nous restreint les mains et nous empêche de nous défendre », a-t-il déclaré. Les médias hébreux ont dénoncé les efforts de Netanyahu et des piliers de son gouvernement de guerre, en affirmant que le gouvernement exprime ses inquiétudes dans cette affaire et lance donc une campagne en coulisses contre le tribunal.
Gil Tamari, analyste des affaires politiques sur la Treizième chaîne, a déclaré qu’il n’y a qu’une seule chose qui inquiète Netanyahu, c’est sa condamnation dans son procès pour corruption, à savoir l’émission d’un mandat d’arrêt contre lui par le tribunal pénal, Sinon, comment comprendrons-nous l’état de panique qui l’a saisi, soulignant qu’il se comporte comme … « Un éléphant dans un magasin de porcelaine ».
Israël a perdu
De son côté, le professeur de sciences politiques Dr. Khalil Al-Anani, fait référence aux déclarations des responsables américains, qui prouvent sans aucun doute l’ampleur de la perte grande et irréparable pour l’état de l’entité sioniste, et il expose ce qu’il décrit comme « deux aveux en moins de deux minutes ». Dans son tweet sur X il ajoute que la seconde vient du sénateur Mitt Romney, qui a admis que la défaite de l’entité sioniste dans la bataille des medias est l’une des raisons de la pression pour fermer l’application Tik Tok en Amérique… Al-Anani souligne que cela contredit l’affirmation selon laquelle il s’agit d’une menace pour la sécurité nationale américaine, comme indiqué dans le contexte de la justification de la promulgation d’une loi sur la vente ou la fermeture de Tik Tok d’ici un an. Il souligne que chaque jour de nouveaux faits et aveux sont révélés, tout cela à cause de Gaza, qui a dénudé et déshonoré tout le monde.
Le sang qui a illumine le monde
Pour sa part, l’écrivain et analyste politique Helmy Al-Asmar confirme que le sang de Gaza et la fermeté des endeuillés, des combattants et de ceux qui détiennent les braises de la patience, ont non seulement illuminé le monde et dissipé ses ténèbres, mais il a plutôt placé la Palestine en tête de la liste des priorités de ceux qui ont travaillé dur pour la retirer de l’histoire et de la géographie, et la Palestine est devenu un vrai hymne pour ceux qui recherchent la vérité. Il continue dans son article dans le journal londonien « Arabi 21 » en disant : C’est la vérité que les tueurs et leurs partisans ont essayé d’enterrer sous un énorme tas de mensonges et de tromperies, comme si les décombres des maisons et des bâtiments détruits finissent par enterrer ceux qui ont jeté bombes, missiles et projectiles, et enterrer avec eux leurs mensonges.
Al-Asmar souligne que l’histoire n’est pas encore terminée, même si nous en vivons les moments les plus décisifs, sans accorder un quelconque intérêt aux mensonges diffusés par les médias sur les tueurs, leurs partisans, et ceux qui normalisent avec eux. Il faut savoir qu’il y a des faits qui ont été révélés et bien d’autres qui ne l’ont pas encore été. Le déluge a été non seulement révélateur, mais il a dévoilé tant de scandales, lorsqu’il a dissipé toutes les conspirations et les plans infernaux qu’ils essayaient de dissimuler pour affaiblir la nation et tuer la vivacité de ses générations, et perpétuer le joug des méchants et leur contrôle sur le cou de leurs serviteurs.
Tout au contraire, Dieu l’a utilisé de manière inattendue, et en dehors des calculs des centres de recherche et des plans d’intelligence et d’études futures , des hommes, des femmes et des garçons puissants (et des étudiants, bien sûr !) pour porter le flambeau de Gaza et de la Palestine, défendre son peuple et éclairer ceux qui sont encore sous l’influence de la magie des gens maléfiques, de sorte que chaque goutte de sang à Gaza était une bombe éclairante qui révélait ce qu’ils essayaient depuis des décades de cacher !
Il conclut en disant : Le sang béni de Gaza a transformé la Palestine, en un point de lumière qui éclaire les chemins de ceux qui recherchent la vérité, ceux qui ont soif de dignité et avides de liberté. C’est là la grande ironie. Tout comme le sang de Gaza a jeté la lampe du monde et illuminé ses ténèbres, le reste des épreuves de Gaza ont également été une bénédiction Plutôt miraculeuse. la faim de Gaza est devenu la satisfaction de la vérité ; et sa soif, s’est transformée en apaisement pour ceux qui cherchaient à étancher leur soif d’honnêteté, de noblesse et d’équité. Ils ont essayé de tuer Gaza, alors dieu l’a ressuscité et a transformé sa faiblesse en une force qui a renversé l’équation de Goliath et de David, et le faible a tué le fort.
L’occupation se noie à Gaza
Quant à l’écrivain et analyste politique Sari Orabi, il a déclaré à l’agence Shehab dans une interview exclusive que l’opération militaire dans la bande de Gaza souffre d’une stagnation militaire majeure en raison du manque de vision politique et stratégique de l’occupation sioniste dans la bande de Gaza. Orabi a souligné que l’absence politique et militaire de l’occupation est due à la fermeté de la Résistance palestinienne à l’intérieur de la bande de Gaza et à sa capacité à s’adapter aux développements et transformations militaires et à la fermeté du négociateur de la Résistance palestinienne sur ses exigences, expliquant que les développements et les transformations qui ont lieu dans la région et dans le monde, ainsi que le dévoilement stratégique de l’occupation néonazie et de sa propagande, ce qui a provoqué de nombreuses crises pour l’administration américaine, qui a soutenu l’occupation jusqu’au bout. Il a poursuivi : « Après cette période de guerre, l’administration américaine cherche une solution politique à l’occupation et tente de créer une nouvelle réalité politique sur la base de cette guerre en cours dans la bande de Gaza », notant que le principal facteur qui a motivé la décision américaine, est la fermeté de la résistance palestinienne sur le terrain.
La guerre un chemin qui mène nulle part
Selon Yedioth Ahronoth, les responsables militaires et sécuritaires israéliens sont arrivés à la conclusion lors de leur réunion que l’entité sioniste était dans une impasse. Selon le journal hébreu, Gallant et les chefs d’état-major du Mossad et du Shin Bet se sont mis d’accord il y a quelques jours sur la nécessité de faire des concessions dans les négociations. Il cite des sources disant : « Les participants sont parvenus à la conclusion que l’occupation doit faire des concessions dans les négociations, y compris le retrait de Netzarim et un retour progressif des Palestiniens dans le nord de la bande de Gaza. » Quant à l’ancien responsable du dossier des prisonniers israéliens, Yaron Blum, il a déclaré : « Je n’accepte pas la déclaration de Netanyahu selon laquelle le Hamas n’est pas sérieux. Nous avons vu arriver deux de ses hauts responsables au Caire. Le Hamas tente de parvenir à un cessez-le-feu permanent, mais Israël ne le souhaite pas.»
Scandale Netanyahu Netanyahu avait décidé de ne pas envoyer la « délégation de négociation » sioniste au Caire, et les ministres extrémistes Itamar Ben Gvir et Bezalel Smotrich ont rapidement salué cette décision et lui ont envoyé des lettres de menaces s’il n’attaquait pas Rafah. Gantz et Eisenkot n’ont pas été invités à une consultation téléphonique au cours de laquelle il a été décidé de ne pas envoyer de délégation. Dans le même temps, « les journalistes de l’entité sioniste ont décidé de dénoncer Netanyahu et son jeu d’obstruction à l’accord », expliquant qu’il « faisait des déclarations contre la conclusion de l’accord d’otages sous le couvert d’un haut responsable diplomatique ». Selon les médias hebreux. Selon le Jerusalem Post, la déclaration de Netanyahu sous le couvert d’un responsable anonyme ne représente pas le po
