Gaza- CPI
Complètement endeuillé par la nouvelle de la mort, hier lundi, de l’Ouléma honnête, Dr Abdul Majeed Al-Zindani, le Mouvement de résistance islamique Hamas a présenté ses sincères condoléances en déclarant: « la Palestine a perdu aujourd’hui l’un de ses grands défenseurs et une voix sincère en faveur de la résistance et de la lutte légitime de notre peuple.»
Le mouvement a souligné dans sa déclaration de deuil, dont notre CPI a reçu une copie: « Il est, parmi les croyants, des hommes qui ont été sincères dans leur engagement envers Allah, Certains d’entre eux ont atteint leur fin, et d’autre attendent encore; et ils n’ont varié aucunement( dans leur engagement).» Avec le cœur d’un croyant, avec la volonté et le destin d’Allah, et avec plus de satisfaction et de paix, nous, dans le Mouvement de la Résistance Islamique (Hamas), présentons nos sincères condoléances aux peuples de la nation arabo-islamique, pour la mort du vénérable Cheikh et grand prédicateur, le Dr Abdul Majeed Al-Zindani, fondateur de l’Université Al-Iman (foi) au Yémen et de la Commission internationale pour les miracles scientifiques du Coran et de la Sunna à La Mecque honorée, et membre de la Commission Suprême de la Congrégation Yéménite pour la Réforme, et l’un de ses fondateurs, décédé lundi à la ville d’Istanbul, Turquie, à l’âge de 82 ans, après une vie pleine de dons, de sacrifice et du djihad, dans divers domaines et voies de la connaissance, de l’éducation, du plaidoyer, en instruisant une génération mature et divine qui réalisera pour la nation la renaissance souhaitée et ses aspirations à la liberté, à la fierté, à la dignité et à l’autonomisation.
Le Hamas a confirmé dans sa déclaration que le vénérable Cheikh Abdul Majeed Al-Zindani, que Dieu lui fasse miséricorde, était, au cours de sa biographie et de sa carrière bénies, l’un des hommes d’éducation et de défense les plus éminents au Yémen et dans le monde islamique, un pionnier des miracles scientifiques du Saint Coran et pilier du travail islamique, en faveur des problèmes de la nation islamique, notamment en faveur de la question de la Palestine, de Jérusalem et de la mosquée bénie d’Al-Aqsa, par son amour au peuple palestinien patient, dans toutes les arènes de la Palestine et à l’étranger, le défendre avec son effort reconnu et son djihad, et défendre ses droits légitimes, pour libérer sa terre et ses lieux sacrés et y retourner.
Il a conclu en disant : Alors que nous perdons aujourd’hui en Palestine l’une des grandes figures qui la défendaient, une voix honnête en faveur de la résistance et de la lutte légitime de notre peuple, une plate-forme honnête œuvrant pour mettre fin à l’agression contre notre peuple et mettre fin à l’occupation de notre terre. Nous sommes endeuillé avec patience et considération par la mort de Son Éminence Cheikh Abdul Majeed Al-Zindani, et nous adressons nos sincères condoléances et sympathie à l’honorable famille Al-Zindani, au peuple yéménite frère et à tous ses frères, ses étudiants et ses amoureux au Yémen, en Palestine et dans le monde, nous demandons à Dieu Tout-Puissant de le couvrir de sa vaste miséricorde et de son pardon, de le faire entrer dans le plus haut paradis, d’élever son statut parmi ses serviteurs sincères et de lui récompenser de la meilleure façon dont il récompense les savants véridiques, afin qu’il le rassemble avec ceux à qu’il a accordé ses bénédictions, parmi les prophètes, les véridiques, les martyrs et les justes, et il est un bon compagnon pour ceux-là. Nous appartenons à Dieu et c’est à lui que nous retournerons, des prophètes, des véridiques, des martyrs et des justes. Et ce sont de bon accompagnons. Au Dieu (Allah) et à Lui nous reviendrons.
De nombreux érudits et organismes islamiques ont pleuré l’érudit yéménite Cheikh Abdul Majeed Al-Zindani, décédé lundi dans un hôpital d’Istanbul, à l’âge de 82 ans.
Son fils, Muhammad bin Abdul Majeed Al-Zindani, a écrit dans un message sur la plateforme X : « Nous appartenons à Dieu et c’est à Lui que nous retournerons. »
L’ Association des savants palestiniens a également pleuré Cheikh Al-Zindani, qu’elle a décrit comme « une haute figure du savoir et du plaidoyer dans la nation islamique, le fondateur de l’Université Al-Iman au Yémen, le fondateur de la Commission internationale pour le miracle scientifique au Coran et dans la Sunna, et l’un des symboles du travail islamique au Yémen et dans le monde islamique.
