Selon la chaîne hébreu n°12, des responsables sioniste craignent que la Cour pénale internationale de La Haye n’émette des mandats d’arrêt contre le Premier ministre sioniste, Benjamin Netanyahu et d’autres responsables sionistes, en raison de la guerre génocidaire contre la bande de Gaza.
L’ennemi usurpateur néonazi sioniste (Israël) aurait obtenu des informations suggérant que la Cour pourrait émettre ses mandats, avant la fin du mois d’avril en cours.
La chaîne sioniste a révélé que le bureau de Netanyahu avait tenu une réunion d’urgence avant-hier, mardi, pour discuter des éventuels mandats d’arrêt, à laquelle ont participé les ministres de la Justice, des Affaires étrangères, des Affaires stratégiques et des experts juridiques.
La publication a également indiqué que Netanyahu avait demandé au ministre britannique des Affaires étrangères, David Cameron, et à son homologue allemande, Annalena Baerbock, lors de leur visite en l’entité usurpatrice sioniste, d’intervenir pour empêcher la délivrance de mandats d’arrêt par la Cour pénale internationale.
Le 20 mars dernier, le journal sioniste « Haaretz » avait écrit sur ces craintes, déclarant que l’armée d’occupation sioniste se préparait à une « bataille après la guerre ».
Les forces d’occupation néonazie sioniste mènent une guerre dévastatrice contre la bande de Gaza depuis le 7 octobre dernier, qui a entraîné la mort de dizaines de milliers de martyrs et de blessés, ainsi que la disparition de personnes, en plus de déplacer 2 000 000 de personnes et de causer d’importants dommages aux habitations et aux infrastructures, touchant plus de 70 % des bâtiments. Cette guerre s’accompagne d’un siège strict, d’une crise humanitaire étouffante et d’une famine sans précédent, en particulier dans la bande de Gaza et dans son nord.
Des organisations de défense des droits de l’homme ont affirmé que gouvernement d’extrême droite, dirigé par Netanyahu commet un crime de génocide contre les Palestiniens, et que Netanyahu, ainsi que les responsables de son gouvernement sioniste et de son armée, sont des criminels de guerre qui doivent être tenus pour responsables.
