Fri 4-October-2024

Les occupants sionistes assassinent les enfants du retour la fillette Malak par exemple

dimanche 6-mai-2018

La soldate israélienne avait pointé la fillette Malak de son arme lorsqu’elle s’était approchée de la ligne frontalière dans le village de Khaza’a à l’est du département de Khan Younes avant d’ouvrir le feu sur elle et de la jeter dans une mare de sang.

Avec l’innocence d’une enfant de treize ans Malak al-Chawwaf avait porté un drapeau sur les épaules pour aller regarder les activités des « grandes marches du retour » accompagnée de son petit frère Abdoullah 10 ans le 12 avril 2018 mais les balles de l’occupation sioniste l’attendaient.

A noter que les snipers de l’occupation n’hésitent pas à ouvrir le feu sur les participants aux manifestations des « grandes marches du retour » sur les frontières de la bande de Gaza. Des dizaines de manifestants civils sont tombés en martyre des centaines d’autres ont été touché et ont eu des blessures handicapantes.

Prisonnières de ses blessures

Avec un visage plein de douleurs la fillette Malak parle de son histoire. Elle parle un peu et se tait un peu. Ses blessures graves à l’épaule et au cou l’empêchent de parler aisément.

Lorsqu’elle s’est approchée de la ligne séparatrice elle a vu deux véhicules militaires israéliens. Ils ont lancé du gaz lacrymogène avant d’ouvrir le feu sur les jeunes Palestiniens qui brûlaient des pneus.

La très jeune fille est partie pour apporter de l’eau d’une tente. Elle est revenue sur la scène qui était une scène de guerre.

Une soldate l’a désignée pour qu’un sniper la vise et vise un jeune dans les jambes.

Victime de l’occupation

Sur le coup elle a senti une chaleur affreuse dans l’épaule et le cou et au même moment un jeune est tombé à côté d’elle. A ce moment elle a vu le sang couler de ses blessures. Les militants l’ont remarquée et l’ont portée vers une ambulance elle et le jeune homme.

A l’Hôpital européen les médecins ont trouvé trois éclats entre l’épaule et le cou ; ils ont décidé de l’opérer plus tard.

Chahda al-Chawwaf le père de la fillette remarque que la petite souffre de douleurs insupportables surtout la nuit et qu’elle ne peut plus aller à l’école. Le père s’interroge sur le danger qu’une telle fillette pourrait présenter pour les soldats de l’occupation sioniste. La fillette n’était là que pour regarder les manifestations.

Le père est triste pour sa fille les médecins ne peuvent enlever qu’un éclat en peu de temps. Ils sont indécis pour les deux autres.

La fillette Malak est actuellement clouée au lit dans sa maison vers le village d’Absan dans la ville de Khan Younes. Son père n’a pas les moyens suffisants pour payer les coûts des soins de sa fille.

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