Europe-CPI
Le député européen Marc Botenga a appelé l’Union européenne à imposer des sanctions contre l’État occupant sioniste, afin de garantir l’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza.
Dans des déclarations à la presse, il a affirmé : « Israël (entité occupante sioniste) tue délibérément les Palestiniens, non seulement par les bombes, mais aussi en les privant de leurs besoins essentiels », qualifiant cela de crime de guerre et de crime contre l’humanité.
Critiquant la position de l’Union européenne, il a ajouté :
« L’UE ne fait pas pression sur Israël. Elle parle, mais n’agit pas. Il faut faire pression, il faut imposer des sanctions. Sinon, Israël (entité usurpatrice sioniste) poursuivra sur cette voie, et ne se contentera pas de tuer des Palestiniens, elle occupera aussi la bande de Gaza. »
Il a dénoncé la poursuite des relations comme si de rien n’était avec Israël (puissante occupante), qualifiant cela de honte totale, car cela rend les pays européens complices de ce qui se passe.
Il a également souligné que certains États européens continuent d’envoyer des armes à Israël, affirmant que ces relations commerciales constituent une complicité dans des crimes de guerre.
Le député a insisté sur la nécessité de mettre immédiatement fin au blocus imposé à Gaza, appelant :
« L’Union européenne doit imposer sans délai des sanctions contre Israël (Occupation), afin d’ouvrir tous les corridors humanitaires vers Gaza. »
Il a par ailleurs condamné la position de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ainsi que celle de la haute représentante de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Kaja Kallas, concernant la situation à Gaza.
« Nous devons élever nos voix. Si nous ne le faisons pas, nous validons la complicité de nos dirigeants », a-t-il conclu.
Avec le soutien américain et européen, l’État occupant « criminel sioniste » mène, depuis le 7 octobre 2023, une opération de génocide dans la bande de Gaza, ayant causé plus de 168 000 morts et blessés palestiniens, majoritairement des enfants et des femmes, ainsi que plus de 14 000 personnes disparues.
