Ramallah – CPI
Le détenu Moussaab Hassan Adili de Naplouse est mort, hier soir, à l’hôpital Soroka, s’ajoutant à la liste des victimes tuées du mouvement des prisonniers, qui se sont tombés en martyrs, en raison des crimes organisés pratiqués par le système pénitentiaire de l’Occupation « fasciste sioniste » d’une manière sans précédent, depuis le début du génocide barbare » sioniste incessant et sans précédent.
La Commission des affaires des prisonniers et le Club des prisonniers palestiniens ont déclaré jeudi dans un communiqué avoir été informés du martyre d’Adili, âge de 20 ans, détenu depuis le 22 mars 2024, et condamné à un an et un mois de prison.
Selon le communiqué : « suite à la tuerie du prisonnier Adili, le nombre de victimes tuées, parmi les prisonniers et détenus depuis la guerre de génocide, s’élève à 64 morts, et ils sont les seuls dont l’identité est connue à la lumière de la poursuite du crime de disparition forcée, parmi eux au moins 40 corps de Gaza, de sorte que cette étape de l’histoire du mouvement des prisonniers et de notre peuple est la plus sanglante.
Ainsi, le nombre de victimes mortes du mouvement des prisonniers, dont l’identité est connue depuis 1967, a atteint 301 à ce jour, tandis que le nombre de prisonniers morts dont les corps sont détenus a atteint 73, dont 62 corps depuis le génocide.
La Commission et le Club ont ajouté que le martyre du prisonnier Adili, lors de la Journée des prisonniers palestiniens, constitue un nouveau crime dans le dossier du système sioniste brutal, qui a pratiqué toutes les formes de crimes visant à tuer des prisonniers. Ces crimes constituent un autre aspect du génocide en cours.
Ils ont tenu l’ennemi usurpateur « nazi sioniste » pleinement responsable de la mort du détenu Adili, et ont renouvelé leur demande au système international des droits de l’homme d’avancer dans la prise de décisions efficaces, pour tenir les dirigeants de l’Occupation responsables des crimes de guerre qu’ils continuent de commettre contre notre peuple, et d’imposer des sanctions à l’Occupation « terroriste sioniste » qui la placeraient dans un état d’isolement international clair, et restaureraient au système des droits de l’homme son rôle fondamental pour lequel il a été créé, et mettraient fin à l’état terrifiant d’impuissance dont il a été affligé pendant la guerre génocidaire « barbare » sioniste, et mettraient fin à l’état d’immunité exceptionnelle que le monde a accordé à l’État occupant « terroriste sioniste », car il est au-dessus de toute responsabilité, de toute obligation de rendre des comptes et de toute punition.