Nazareth – CPI
Les autorités d’Occupation « néonazie sioniste » ont libéré, aujourd’hui lundi après-midi, 10 prisonniers palestiniens de la bande de Gaza, en « mauvais » état de santé. Ils avaient été arrêtés il y a des mois, au cours de la guerre de génocide qui dure depuis plus d’un an et demi.
Le Bureau d’information des prisonniers a rapporté dans un message sur Telegram que 10 prisonniers étaient arrivés à l’hôpital des martyrs d’Al-Aqsa à Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, en mauvaise santé, en raison des tortures auxquelles ils avaient été soumis dans les prisons de l’entité usurpatrice « terroriste sioniste ».
Le bureau a déclaré que les prisonniers libérés avaient été arrêtés par l’armée d’Occupation « néonazie sioniste », il y a environ six mois, lors de son siège du camp de Jabalia, dans le nord de la bande de Gaza.
Des sources médiatiques locales ont rapporté que les prisonniers ont été libérés par la porte Kissufim à la barrière de sécurité à l’est de Khan Younès et ont été transportés à l’hôpital des martyrs d’Al-Aqsa via des véhicules de la Croix-Rouge. Elles ont souligné que les équipes médicales effectuent les examens nécessaires pour ces prisonniers.
Jeudi dernier, les forces armées d’Occupation « fasciste sioniste » ont libéré 80 prisonniers palestiniens de différentes zones de Gaza, par surprise, dans des conditions sanitaires et psychologiques difficiles.
Les autorités d’Occupation « terroriste sioniste » ont précédemment libéré des centaines de prisonniers qu’elles avaient arrêtés dans la bande de Gaza, dans le cadre de la première phase de l’accord de cessez-le-feu et d’échange de prisonniers à Gaza, entré en vigueur le 19 janvier.
Le 18 mars, Israël (entité occupante sioniste) a violé l’accord de cessez-le-feu et d’échange de prisonniers de 58 jours et a repris sa guerre génocidaire contre la population civile de la bande de Gaza.
