Gaza – CPI
Le Mouvement de résistance islamique (Hamas) a déploré, dimanche soir, la mort d’Ismaïl Barhoum, membre de son bureau politique à Gaza. Barhoum, qui a été assassiné par les forces armées d’Occupation « terroriste sioniste » lors du bombardement de l’hôpital Nasser, alors qu’il recevait des soins médicaux.
Le Hamas a déclaré dans un communiqué, dont notre CPI a reçu une copie : « Nous condamnons ce nouveau crime, qui s’ajoute au bilan des violations terroristes des lieux saints, des vies et des établissements de santé commises par l’Occupation « criminelle sioniste ». Elle réaffirme son mépris de toutes les normes et conventions internationales, ainsi que sa politique continue d’assassinats systématiques contre notre peuple et ses dirigeants. »
Il a ajouté que le leader martyr était un symbole de la défense de l’islam et de la religion, un pilier du mouvement dans la bande de Gaza et un exemple de persévérance, de générosité et d’altruisme. Il a consacré sa vie au service de son peuple, de sa religion et de sa cause. Il était loyal à la Palestine et à ses lieux saints, sincère dans son appartenance et présent dans les domaines de la défense des droits, de la communauté et de l’action humanitaire.
Le Hamas a conclu son communiqué en disant : « Nous promettons à Dieu et ensuite à notre peuple que le sang de nos dirigeants restera une lumière sur le chemin de la résistance et de la liberté, et que les crimes de l’Occupation « néonazie sioniste » ne nous empêcheront pas de poursuivre le chemin de la résistance et du djihad, jusqu’à la libération et le retour. »