Gaza – CPI
Des responsables de l’ONU et des organisations internationales ont exigé, ce mardi, que les autorités d’Occupation « sioniste » respectent les termes de l’accord de cessez-le-feu à Gaza.
Le matin même, l’armée d’Occupation « terroriste sioniste » a relancé sa guerre génocidaire « barbare » contre la population civile de la bande de Gaza, intensifiant ses attaques, tuant 420 personnes et en blessant plus de 560, principalement des civils pendant le repas du Suhoor (pour le début du carême).
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a exprimé sa « stupéfaction » face à la reprise des hostilités et a appelé au respect du cessez-le-feu.
Lors d’une conférence de presse à Genève, le porte-parole de l’ONU, Rolando Gómez, a indiqué que le secrétaire général António Guterres avait exprimé sa « stupéfaction » face aux frappes israéliennes à Gaza.
Guterres a appelé au respect du cessez-le-feu, à la facilitation de l’aide humanitaire et à la libération des otages.
De son côté, le Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Volker Turk, a également exprimé sa consternation face aux frappes sanglantes, les plus violentes depuis le début de l’accord de cessez-le-feu, convenu en janvier dernier.
Volker Turk, le Haut-Commissaire aux droits de l’homme, a exprimé sa « stupéfaction » après les frappes sionistes récentes à Gaza, qui ont causé des centaines de morts, aggravant la situation déjà catastrophique.
Il a souligné que l’usage accru de la force par Israël (entité occupante « néonazie sioniste ») ne ferait qu’alourdir la souffrance palestinienne. Ajith Songai, de l’ONU, a qualifié la reprise des bombardements d' »immense tragédie », après une trêve fragile entamée suite à l’attaque de Hamas en octobre 2023.
La reprise de l’agression « barbare » génocidaire contre Gaza, tôt mardi matin, constitue la plus grande violation du cessez-le-feu signé le 19 janvier sous la médiation du Qatar, de l’Égypte et des États-Unis.
La nouvelle agression « brutale » sanglante s’ajoute à une série de violations sionistes commises depuis cet accord, aggravant la crise humanitaire à Gaza. Depuis le 7 octobre, l’attaque sioniste soutenue par les États-Unis a causé plus de 160 000 morts et blessés palestiniens, principalement des femmes et des enfants.