Gaza – CPI
Le Bureau des médias du gouvernement à Gaza a déclaré mardi que l’Occupation « néonazie sioniste » avait violé l’accord de cessez-le-feu conclu et continuait de commettre des crimes de génocide contre les civils palestiniens dans la bande de Gaza. Il a noté que plus de 404 morts et plus de 562 blessés, sans compter les dizaines de victimes disparues, visant de nombreuses familles à Gaza et entraînant la destruction massive de leurs habitations.
Le bureau des médias a expliqué, dans un communiqué publié, dont notre CPI a reçu une copie, que la situation humanitaire dans la bande de Gaza est devenue extrêmement tragique, de nombreux martyrs ne pouvant atteindre les hôpitaux, en raison de la difficulté de mouvement et de la paralysie des transports causée par la pénurie de carburant dans tous les gouvernorats de l’enclave assiégée et dévastée. Le communiqué souligne que la plupart des martyrs et des personnes disparues sont des femmes, des enfants et des personnes âgées, dans le contexte des crimes génocidaires en cours visant le peuple palestinien, sa terre et son histoire.
Le Communiqué souligne que la poursuite de ces massacres par l’Occupation « terroriste sioniste » confirme que cette entité « néonazie » ne connaît que le langage du meurtre et de la destruction, et ne respecte aucune loi humanitaire ou morale, indiquant qu’elle continue de commettre un génocide contre les enfants et les femmes, révélant ainsi ses véritables intentions de verser le sang d’innocents.
Le ministère de la Santé de Gaza a confirmé que 404 martyrs et 562 blessés sont arrivés jusqu’à présent dans les hôpitaux de la bande de Gaza, à la suite des multiples attaques et massacres perpétrés par l’Occupation, depuis les premières heures de ce matin.
Il a affirmé que ces massacres surviennent à un moment où la bande de Gaza souffre d’un blocus étouffant et d’une fermeture complète de ses points de passage, ce qui a aggravé la situation humanitaire privant ainsi plus de 2 400 000 de Palestiniens des nécessités les plus élémentaires de la vie, notamment la nourriture, les médicaments et l’eau.
Il a expliqué que le système de santé dans la bande de Gaza s’est complètement effondré, en raison du blocus continu des fournitures médicales et de l’aide humanitaire, menaçant de perturber la capacité des hôpitaux à fournir des soins de santé aux blessés. Il a également souligné que le fait d’empêcher l’entrée de carburant pourrait transformer Gaza en une zone totalement sinistrée.
En condamnant le silence ferme et honteux de la communauté internationale vis-à vis des crimes incessants de l’armée d’Occupation « néonazie sioniste » contre le peuple palestinien isolé, le communiqué des médias du gouvernement porté les pays du monde entier responsable de cette nouvelle agression « brutale », à leur tête l’administration américaine dirigée par Donald Trump qui donne un couvert politique et un soutien explicite à l’ennemi occupant et l’encourage à commettre plus de crimes et d’atrocité contre les civils innocents.
Il a ajouté que ces politiques constituent une violation flagrante du droit international humanitaire, insistant sur l’interdiction de l’utilisation de la famine comme arme contre les civils.
Il a appelé la communauté internationale, les Nations Unies, le Conseil de sécurité et les organisations humanitaires et de défense des droits de l’homme à rompre le silence et à prendre des mesures immédiates pour mettre fin à ces massacres brutaux contre les civils, avertissant que la poursuite de cette agression conduira à une nouvelle escalade tragique.
Il a également appelé à ce que les dirigeants de l’Occupation « néonazie sioniste » soient tenus responsables de leurs crimes devant les tribunaux internationaux, soulignant que le monde ne peut pas rester silencieux devant ce génocide sans précédent, qui dure depuis plus de 525 jours, sans prendre de mesures dissuasives.
