Nazareth – CPI
Les autorités d’Occupation « néonazie sioniste » ont renouvelé leur intention de continuer à occuper des zones en Syrie, qu’elles qualifient de « sécuritaires » et ont de nouveau brandi la carte druze dans le contexte de leur ingérence dans les affaires syriennes.
Dans un message publié sur la plateforme X, le ministre de l’Armée d’Occupation « terroriste sioniste », Yisrael Katz, a poursuivi ses déclarations hostiles contre la Syrie sous la nouvelle administration qui a pris le pouvoir après la chute du régime d’Assad, le 8 décembre 2024.
Katz a déclaré que l’armée d’Occupation « néonazie sioniste » «resterait dans les zones de sécurité en Syrie, y compris la région du mont Hermon», sans préciser de limite de temps pour cette présence militaire.
Il a affirmé que cette mesure « vise à défendre Israël(entité usurpatrice « néonazie sioniste ») contre toute menace venant de Syrie » et à « protéger les colonies dans les régions du Golan et de la Galilée ». Selon ses allégations.
Faisant référence à de nouvelles interventions sionistes en Syrie, Katz a promis que Tel-Aviv « œuvrera pour garantir que le sud de la Syrie soit démilitarisé et libre de menaces (…) et nous protégerons la population druze là-bas », dans une démarche qui reflète l’exploitation de la carte sectaire par le gouvernement d’Occupation « fasciste sioniste ».
Les déclarations des responsables sionistes concernant la Syrie reflètent la colère envers la nouvelle administration qui a pris les rênes du pays, après la chute du régime d’Assad. Les reportages des médias et les déclarations des responsables indiquent qu’Israël (entité occupante sioniste) n’a jamais voulu voir tomber le régime et « l’a considéré comme un acteur utile ».
Peu après la chute du régime d’Assad, les autorités d’Occupation sioniste se sont précipitées pour bombarder des centaines de cibles et des stocks d’armes stratégiques appartenant à l’ancienne armée syrienne, craignant qu’ils n’atteignent les forces de la nouvelle administration.
Israël (entité usurpatrice « néonazie sioniste ») a également profité de la nouvelle situation, après la chute du régime d’Assad, pour occuper la zone tampon syrienne et la région du mont Hermon, et a déclaré l’effondrement de l’accord de désengagement de 1974 avec la Syrie.
Dans une tentative d’ingérence supplémentaire dans les affaires syriennes, le Premier ministre du gouvernement d’extrême sioniste, Benjamin Netanyahu, a exploité les tensions sécuritaires provoquées par une milice liée à l’ancien régime appelée « Bouclier de Jaramana » dans la ville de Jaramana, dans le sud de la Syrie, il y a quelques jours, pour annoncer qu’il avait donné des directives à l’armée pour se préparer à protéger la ville, qu’il a qualifiée de « druze ».
