Gaza – CPI
Le ministère de la Santé de la bande de Gaza a annoncé, aujourd’hui, jeudi, que le bilan des morts de la guerre de génocide, commis par l’Occupation « néonazie sioniste », s’est élevé à 48 446 martyrs depuis le 7 octobre 2023.
Le ministère a indiqué dans son rapport statistique sur les martyrs et blessés palestiniens : « 6 martyrs sont arrivés dans les hôpitaux de la bande de Gaza, au cours des dernières 24 heures, et leurs corps ont été retrouvés sous les décombres. 7 Palestiniens ont également été blessés lors de nouvelles attaques d’Occupation sioniste. »
Il a expliqué que le bilan du génocide sioniste s’élève à 48 446 martyrs et 111 852 blessés, depuis le 7 octobre 2023.
Il a souligné qu’il y a un certain nombre de victimes sous les décombres et sur les routes, et que les ambulanciers et les équipes de la protection civile ne peuvent pas les atteindre, en raison du manque d’équipement.
Depuis l’entrée en vigueur de l’accord de cessez-le-feu à Gaza et de l’accord d’échange de prisonniers le 19 janvier, et jusqu’à la fin de la première phase samedi soir dernier, l’ennemi occupant « terroriste sioniste » a commis plus de 900 violations, selon les données publiées par le mouvement Hamas.
Ces violations comprennent des bombardements aériens et d’artillerie, des vols intensifs de drones, l’empêchement de l’entrée de l’aide humanitaire, des tirs sur des civils, la démolition de maisons et le ciblage de voitures. Il s’agit également d’empêcher l’entrée de carburant, d’entraver l’entrée des véhicules de protection civile et des engins lourds, d’empêcher l’entrée des tentes et des caravanes.
Le gouvernement d’Occupation « fasciste sioniste » fait obstacle au début de la 2e phase des négociations et veut prolonger la 1e phase de l’accord d’échange, pour libérer le plus grand nombre possible de prisonniers sionistes, sans rien fournir en échange, ni compléter les droits militaires et humanitaires imposés dans l’accord au cours de la période écoulée.
En échange, le Hamas confirme son engagement envers l’accord en trois étapes et exige que le gouvernement d’Occupation s’y engage. Il appelle les médiateurs à entamer immédiatement des négociations pour la 2e étape et considère la décision d’empêcher l’aide un chantage bas, un crime de guerre et un coup flagrant contre l’accord.
