Tubas – CPI
Les forces armées d’Occupation « néonazie sioniste » se sont retirées aujourd’hui, mercredi, du camp d’Al-Fari’a, au sud de Tubas, après une agression de 10 jours.
Lors de cette agression, l’Occupation « terroriste sioniste » a provoqué le déplacement de dizaines de familles de leurs maisons, dans le camp vers la ville de Tubas et les villes de Tamoun et Aqaba.
Au cours des 10 derniers jours, le camp a souffert d’une situation humanitaire difficile, après que l’ennemi usurpateur « nazi sioniste » a assiégé le camp et fermé toutes ses entrées principales et secondaires, laissant des centaines de familles sans eau ni nourriture, en plus d’une pénurie de médicaments, en particulier pour les personnes atteintes de maladies chroniques.
Cette agression « barbare » sioniste, à laquelle ont participé des centaines de soldats, des dizaines de patrouilles et plusieurs bulldozers lourds, a entraîné de grandes destructions d’infrastructures et de biens des citoyens, le bombardement et l’enlèvement des portes de plusieurs maisons et la démolition de parties du bâtiment du Comité populaire.
Selon des sources locales, l’ennemi occupant « fasciste sioniste » aurait perquisitionné des dizaines de maisons dans le camp, mené des enquêtes sur le terrain contre leurs habitants et transformé certaines d’entre elles en casernes militaires, après avoir forcé les habitants à les quitter. Le nombre de familles forcées à quitter le camp varient entre 200 et 250 personnes.
Au cours de cette agression, l’ennemi occupant « terroriste sioniste » a arrêté plus de 30 jeunes hommes du camp, dont 22 ont été libérés par la suite.
Les forces armées d’Occupation « néonazie sioniste » ont entravé le travail des équipes médicales tout au long des jours de l’agression, les ont empêchées à plusieurs reprises de transporter des patients depuis le camp et ont attaqué leur point médical dans le camp de Fari’a.
Depuis ce matin, les citoyens ont commencé à regagner leurs maisons dans le camp et à les inspecter après que l’Occupation « fasciste sioniste » s’en soit retirée.