Nazareth – CPI
La radio de l’armée d’Occupation « néonazie sioniste » a annoncé, aujourd’hui jeudi, que 28 soldats sionistes se sont suicidés, depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, le 7 octobre 2023, dont 16 soldats de réserve, soit le nombre le plus élevé enregistré depuis 13 ans.
En novembre dernier, le journal « Yedioth Ahronoth » révélait qu’au moins 6 soldats sionistes s’étaient suicidés, au cours des derniers mois, dans un rapport qu’il avait rédigé sur la situation psychologique fragile des soldats qui souffrent du syndrome de stress post-traumatique dû à leur guerre à Gaza et au Liban.
Le journal a déclaré que les soldats qui se sont suicidés faisaient partie de ceux qui ont combattu pendant longtemps à Gaza et au Liban, soulignant que ce chiffre ne reflète pas la réalité de ce qui se passe en détail, en raison du refus de l’armée sioniste de publier le chiffre complet de soldats qui se sont suicidés ou qui ont tenté de se suicider.
Selon le Bureau de réintégration du ministère israélien de la Défense, et ce qu’a rapporté le média électronique The Times of Israël(entité sioniste), environ 5 200 soldats sionistes, soit 43% des blessés accueillis dans les centres de réhabilitation, souffrent de stress post-traumatique, avec l’espoir qu’environ 100 000 personnes seront traitées au moins la moitié d’entre elles souffriront du SSPT d’ici 2030.
Selon diverses estimations de l’armée d’Occupation « terroriste sioniste », environ 15 % des combattants réguliers qui ont quitté Gaza et ont été soignés mentalement n’ont pas pu retourner au combat, en raison des difficultés qu’ils ont rencontrées.
Le journal « Yedioth Ahronoth » a indiqué que des milliers de soldats ont trouvé refuge dans des cliniques spéciales établies par l’armée et qu’un tiers des personnes reconnues handicapées souffrent de troubles de stress post-traumatique.
