New York – CPI
L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a déclaré que la guerre génocidaire, commise par les forces armées d’Occupation « néonazie sioniste » dans la bande de Gaza, a privé tous les Gazaouis de « droits et non de privilèges ».
L’UNRWA a déclaré mardi dans un message via la plateforme « X » que « l’ampleur des souffrances dans la bande de Gaza a ébranlé la croyance de nombreuses personnes dans les droits de l’homme ».
L’UNRWA a rapporté : « Aujourd’hui marque la Journée internationale des droits de l’homme. L’ampleur des souffrances dont Gaza a été témoin, au cours de l’année écoulée, a ébranlé la foi de nombreuses personnes dans les droits de l’homme. »
» Les droits dont les habitants de Gaza ont été privés sont les mêmes droits qui visent à assurer notre protection à tous. Nous sommes tous soucieux de garantir que ces droits soient respectés à Gaza. » A poursuivi l’agence onusienne.
L’agence des Nations Unies a souligné que « les droits de l’homme universels constituent la meilleure garantie pour parvenir à un monde dans lequel tous les individus peuvent vivre dans la dignité, la sécurité, l’égalité et la liberté ».
Elle a ajouté : « Nous partageons tous la responsabilité de protéger et de promouvoir les droits de l’homme. Nous avons tous l’obligation de construire un avenir dans lequel les droits de l’homme, la dignité et la responsabilité seront respectés sans délai, car ces droits sont garantis à tous, pour tous. Nos droits sont notre avenir.
L’UNRWA a souligné que « le droit à la sécurité, à la dignité, à la protection contre la violence et les déplacements, et l’accès à une nourriture, à l’eau, à l’assainissement, à l’habillement et au logement adéquats, sont des droits dont les Palestiniens de Gaza sont privés et ne constituent pas des privilèges ».
L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine a renouvelé sa demande d’un cessez-le-feu « immédiat » dans la bande de Gaza.
Le 10 décembre de chaque année marque la Journée internationale des droits de l’homme, le jour où l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la Déclaration universelle des droits de l’homme en 1948.