Wed 30-April-2025

Hamdan: La formation d’un gouvernement de consensus national est une priorité pour s’unir face aux défis

mardi 26-novembre-2024



Beyrouth – CPI

Le chef du mouvement Hamas, Oussama Hamdan, a déclaré que son mouvement s’attache à sa position pour la formation d’un gouvernement de consensus national, qui gérera les affaires des Palestiniens, soulignant que cette option représente une priorité pour unifier les rangs face aux défis actuels, mais il n’a pas encore reçu l’approbation.

Hamdan a ajouté que le Hamas avait réussi lors de la réunion du Caire avec le mouvement Fatah à parvenir à un accord sur un cadre, pour la formation d’un comité chargé de gérer les affaires de la bande de Gaza, mais que les réunions; qui étaient censées avoir lieu; pour finaliser ces arrangements, ont été retardées, en raison de l’évolution de la situation sur le terrain, notamment l’assassinat du commandant Yahya Al-Sinwar sur le champ de bataille.

Dans un autre contexte, il a expliqué que l’ennemi usurpateur « néonazi sioniste, terroriste criminel », cherche, par la négociation, à réaliser ce qu’il n’a pas réussi à réaliser sur le terrain, ce qui est complètement « inacceptable et impossible. »

Il a souligné que l’ennemi occupant « fasciste sioniste » vise à récupérer les prisonniers chez la résistance, par la pression, alors qu’il souhaite que la résistance lève le drapeau de la soumission, ensuite décidera d’arrêter la guerre ou non.

Il a souligné que le Hamas souhaite mettre un terme à l’agression barbare contre le peuple palestinien, affirmant que parler d’une trêve temporaire de 5 jours, puis reprendre les combats, ne sert pas les objectifs du peuple palestinien.

Enfin, Hamdan a souligné que la bataille, en cours à Gaza, est liée à la question des prisonniers, avertissant que la vie des prisonniers sionistes serait en danger, s’ils perdaient les résistants qui s’occupent d’eux.

Pour le 416ème jour consécutif, les forces armées de l’entité usurpatrice, néonazie sioniste, poursuivent leur agression militaire et leur crime de génocide contre les civils dans la bande de Gaza, coïncidant avec des bombardements aériens et d’artillerie et des tirs d’armes à feu, visant particulièrement les déplacés par force, dans les écoles, les hôpitaux et les tentes, notamment les endroits de concentrations dans l’enclave assiégée et dévastée.

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