Nazareth – CPI
Les familles des prisonniers sionistes détenus par la résistance palestinienne dans la bande de Gaza poursuivent leurs protestations, pour exiger la conclusion d’un accord d’échange, plus d’un an après la guerre génocidaire barbare sioniste contre la population civile de la bande de Gaza.
Un certain nombre de familles de prisonniers sioniste ont bloqué une route principale à Tel-Aviv pour exiger que le gouvernement d’Occupation conclue un accord d’échange avec le Hamas.
Des images vidéo diffusées sur les réseaux sociaux montrent des moments où des manifestants sionistes ont fermé la route Ayalon à Tel Aviv et brandi d’immenses banderoles appelant au retour des prisonniers de la bande de Gaza.
Cela survient après que la chaîne hébreu n°12 a révélé que le chef du Mossad, David Barnea, avait informé les familles des prisonniers sionistes dans la bande de Gaza que les chances de parvenir à un accord d’échange avec le Hamas étaient devenues faibles.
Dans le même contexte, la chaîne hébraïque a cité le chef d’état-major Herzi Halevy, qui aurait déclaré lors d’une réunion avec les familles des prisonniers sionistes à Gaza que le moment était venu de chercher à conclure un accord d’échange.
Halevy a déclaré aux familles : « L’armée a réalisé de nombreux progrès et nous devons avoir le courage de conclure un accord », selon ses propos.
La chaîne a cité une source sioniste bien informée disant : « Le Premier ministre Benjamin Netanyahu n’est pas prêt à mettre fin à la guerre à Gaza en échange du retour des détenus. »
Les estimations sionistes indiquent qu’il y a 101 prisonniers sionistes à Gaza, tandis que le Hamas affirme que beaucoup d’entre eux ont été tués lors de raids sionistes visant la bande de Gaza.
Le Hamas insiste sur un retrait complet de l’Occupation terroriste sioniste de la bande de Gaza et sur une cessation complète de l’agression, afin d’accepter tout accord et de discuter de la question des échanges.
Depuis le 7 octobre 2023, l’Occupation nazie sioniste, avec le soutien absolu des États-Unis, mène une guerre génocidaire barbare, sans précédent, contre la population civile de la bande de Gaza, qui a jusqu’à présent entraîné plus de 145 700 martyrs et blessés, 10 000 personnes disparues, des destructions massives d’infrastructures et un massacre meurtrier et de famine.