Nazareth – CPI
Les médias hébreux ont rapporté que l’armée d’Occupation nazie sioniste avait annoncé la démission du commandant des forces terrestres, Tamir Yedi, pour des « raisons personnelles ».
Il y a quelques mois, le chef de la Division du renseignement militaire (Aman), Aharon Haleva, a démissionné, et les médias hébreux s’attendaient à l’époque à une série de démissions au sein de la direction de l’armée d’Occupation nazie sioniste, après la publication d’enquêtes internes au sein de l’armée, attendu au cours de l’été prochain, concernant l’échec de l’armée et des services de renseignement à repousser l’opération « déluge d’Al-Aqsa », menée par les Brigades Al-Qassam, le 7 octobre 2023.
Ils ont indiqué que parmi les dirigeants qui devraient présenter leur démission figurent le chef d’état-major Herzi Halevy et son adjoint Amir Baram, ainsi que le commandant de la division de Gaza Avi Rosenfeld et le commandant du district sud Yaron Finkelman, même s’il n’est en poste que depuis deux mois avant le 7 octobre.
Ils s’attendaient également à ce que son prédécesseur, Eliezer Toledano, présente également sa démission, tout comme le commandant de la Division des opérations, Shlomi Binder, qui devrait présenter sa démission, en raison des critiques qui lui ont été adressées concernant le transfert de bataillons de Gaza. Commandement de la division en Cisjordanie à la veille du 7 octobre.
Le 7 octobre, le chef d’état-major des « Brigades Al-Qassam », la branche armée du mouvement « Hamas », Muhammad Deif, a annoncé le lancement de l’opération « déluge d’Al-Aqsa », la plus grande attaque menée par la résistance palestinienne contre l’entité usurpatrice nazie sioniste(Israël), depuis des décennies, qui comprenait une attaque terrestre, maritime et aérienne et une infiltration de la résistance dans plusieurs zones autour de la bande de Gaza.
Al-Dhaif a déclaré dans un message audio enregistré à l’aube ce jour-là : » Nous annonçons le début de l’opération déluge d’Al-Aqsa, avec une première frappe qui a ciblé les sites ennemis, les aéroports et les fortifications militaires », ajoutant que la première frappe a dépassé les 5 000 missiles et d’obus pendant les 20 premières minutes de l’opération. »
Le nom choisi par la résistance palestinienne pour l’opération « déluge d’Al-Aqsa » porte la signification d’une réponse aux violations sionistes continues de la mosquée Al-Aqsa et des lieux saints islamiques de la ville de Jérusalem occupée.
