Un responsable yéménite a déclaré que les dégâts matériels causés par le bombardement sioniste du port d’Hodeïda, dans l’ouest du Yémen, s’élevaient à environ 20 millions de dollars, sans compter les pertes liées au pétrole.
L’armée d’Occupation terroriste sioniste a bombardé le port le 20 juillet, après que les forces armées yéménites, représentées par le groupe « Ansar Allah », ont revendiqué une attaque à l’aide d’un drone piégé qui a tué une personne à Tel Aviv.
Les frappes sur le port, qui est une porte principale pour les importations de carburant et d’aide humanitaire vers les zones contrôlées par le mouvement « Ansar Allah », ont causé la mort de neuf personnes, selon des médias yéménites.
Les frappes ont également provoqué un énorme incendie qui a duré plusieurs jours dans le port, détruisant certains des grues et des dizaines de réservoirs de pétrole.
Des médias ont cité Nasser Al-Nassiri, vice-président du Conseil d’administration de la Société des ports de la mer Rouge, affirmant que les pertes « dépassent les vingt millions de dollars pour le port, tandis que les pertes des installations pétrolières sont à évaluer par le ministère du Pétrole. »
Depuis novembre, les forces armées yéménites dirigées par le groupe Ansar Allah mènent des attaques presque quotidiennes contre des navires liés à Israël, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Le groupe a souligné à plusieurs reprises que ses attaques contre les routes maritimes en mer Rouge et dans le golfe d’Aden sont en soutien à la résistance palestinienne, et qu’il ne cessera pas ses attaques jusqu’à la fin de la guerre barbare de génocide contre Gaza, la levée du siège du territoire et l’entrée de l’aide humanitaire.
