Londres – CPI
Amnesty International a appelé à un embargo sur les armes contre l’État d’Occupation nazi sioniste avant le discours de son Premier ministre, Benjamin Netanyahu, devant le Congrès mercredi.
Dans un communiqué de presse, l’organisation a averti les États-Unis d’Amérique que la poursuite des transferts d’armes « rendrait les États-Unis complices des violations du droit international commises avec ces armes ».
Le directeur exécutif de l’organisation aux États-Unis, Paul O’Brien, a déclaré : « Le gouvernement américain a obtenu de nombreuses preuves auprès d’experts du monde entier selon lesquelles des armes de fabrication américaine sont utilisées par le gouvernement sioniste pour commettre des crimes de guerre et des homicides illégaux. »
Il a ajouté : « Le gouvernement sioniste a utilisé les armes américaines pour commettre de graves violations du droit international humanitaire et du droit des droits de l’homme, ainsi que de la loi et de la politique américaine. »
Il a souligné que la Cour internationale de Justice « a décidé qu’il était déraisonnable de voir que les forces d’Occupation sioniste utilisaient des armes américaines pour violer le droit humanitaire international ».
O’Brien a exhorté le président Biden à mettre fin à la complicité de l’administration américaine avec le gouvernement d’Occupation nazie sioniste dans les violations flagrantes du droit international, déclarant : « Biden doit immédiatement suspendre les transferts d’armes au gouvernement d’Occupation sioniste ».
Aujourd’hui mercredi, le Premier ministre Benjamin Netanyahu prononcera un discours devant le Congrès américain dans lequel il tentera de faire pression sur les États-Unis, dans un contexte tendu entre les deux alliés après environ 10 mois d’agression génocidaire barbare contre la bande de Gaza.
Depuis le 7 octobre 2023, l’Occupation terroriste sioniste mène une guerre de génocide contre Gaza, qui a jusqu’à présent fait plus de 39 000 martyrs, blessé plus de 90 000 autres personnes, pour la plupart des enfants et des femmes, et entraîné le déplacement d’environ 1 900 000 de personnes et plus de 10 000 personnes disparues, sur fond de destruction massive des infrastructures sanitaires, éducatives et économiques et d’une famine qui a coûté la vie à des dizaines d’enfants, selon les données des Nations Unies.
