Yasmina Gerda, responsable du Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) à Gaza, a déclaré que plus de 200 travailleurs humanitaires ont été tués à Gaza, depuis le 7 octobre dernier.
Gerda a précisé lors d’une conférence de presse mardi que la situation à Gaza est « extrêmement grave et ne peut être mesurée en chiffres, à tel point qu’elle est devenue une zone non sécurisée pour quiconque ».
Elle a ajouté : « À Gaza, j’ai entendu et vu des histoires directes qui me hanteront pour le reste de ma vie. »
Elle a souligné les difficultés auxquelles font face les équipes pour fournir une aide humanitaire aux nécessiteux, indiquant que de nombreuses personnes n’ont pas eu leurs besoins de nourriture, d’abris, de soins de santé et d’autres besoins fondamentaux satisfaits.
Depuis le 7 octobre dernier, l’Occupation terroriste néonazie sioniste mène une guerre destructrice contre Gaza avec un soutien américain total, ayant causé environ 124 000 morts et blessés parmi les Palestiniens, ainsi que des milliers de disparus.
L’entité usurpatrice néonazie sioniste continue sa guerre malgré deux résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies ordonnant son arrêt immédiat, ainsi que des ordres de la Cour internationale de justice exigeant la fin de l’invasion de la ville de Rafah, au sud de la bande de Gaza, et des mesures pour prévenir des actes de « génocide » et améliorer la situation humanitaire désastreuse à Gaza.
