Tue 25-June-2024

Hamas : L’approbation par la Knesset de l’interdiction des missions de soutien aux Palestiniens est un comportement sioniste de représailles

jeudi 6-juin-2024



Gaza – CPI

Le Mouvement de résistance islamique Hamas a décrit l’approbation par la Knesset sioniste d’un projet de loi interdisant l’ouverture de missions diplomatiques de pays étrangers à Jérusalem occupée, pour fournir des services à notre peuple palestinien, comme un « comportement sioniste de représailles ».

Le mouvement Hamas a confirmé dans un communiqué reçu par notre CPI que cela « s’inscrit dans le cadre des tentatives visant à judaïser la Ville sainte, à nier et effacer l’identité nationale de notre peuple, son existence politique et son droit inhérent à son droit , à sa terre et sa capitale historique.

Il a ajouté : « Cette mesure est invalide et émise par une autorité usurpatrice sioniste illégale sur Jérusalem et notre terre palestinienne. »

Le Hamas a appelé les Nations Unies et tous les pays à rejeter la décision d’Occupation sioniste et à la criminaliser, et à œuvrer pour isoler l’Occupation et faire face à ses mesures « fascistes ».

Aujourd’hui, la Knesset d’Occupation sioniste a approuvé, en lecture préliminaire, un projet de loi qui « empêche l’ouverture de missions diplomatiques à Jérusalem pour fournir des services aux non-résidents de l’entité usurpatrice sioniste (Palestiniens) ; Pour éviter « la possibilité de l’émergence d’un statut de facto pour Jérusalem en tant que ville partagée ».

La Knesset sioniste a déclaré dans un communiqué : « 18 membres ont soutenu le projet de loi et 7 s’y sont opposés, et il sera soumis à la commission constitutionnelle pour discussion, en vue de sa soumission au vote. »

Le projet stipule que l’Occupation néonazie sioniste( Israël) ne permettra pas à une entité politique étrangère d’ouvrir ou d’exploiter une mission diplomatique à Jérusalem pour servir les non-résidents de l’entité usurpatrice », selon le communiqué.

Il a ajouté : « En Israël, aucun gouvernement n’a autorisé l’ouverture d’une représentation d’une entité étrangère qui n’était pas destinée à servir sa population, et la raison pour laquelle cette autorisation n’a pas été accordée est la possibilité de l’émergence d’un statut de facto pour Jérusalem, comme une ville partagée.

Ce projet a été soumis par Zeev Elkin, député du Likoud à la Knesset et dirigé par le Premier ministre sioniste, Benjamin Netanyahu, et doit encore être voté avec trois lectures supplémentaires pour devenir une loi effective.

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