Le bureau des médias du gouvernement a salué la position d’Amnesty International dans son rapport publié sur l’agression de l’occupation au cours du mois de mai qui a entraîné la mort de 34 civils des dizaines de blessés et le bombardement de diverses habitations et biens civils après avoir décrit les attaques de l’occupation comme des crimes de guerre.
Dans une déclaration d’aujourd’hui mercredi le bureau a vu dans ce rapport et ce que l’organisation internationale a documenté comme une nouvelle preuve juridique de la poursuite de la criminalité de l’occupant israélien et de ses attaques successives contre notre peuple ce qui indique clairement que l’occupation est la cause directe de la souffrance dans les territoires palestiniens.
Il a déclaré : « Cela nécessite des étapes avancées non seulement pour exposer les crimes de l’occupation et les décrire avec la terminologie juridique appropriée mais aussi pour agir à différents niveaux principalement légalement pour poursuivre les criminels de guerre parmi les dirigeants de l’occupation et les tenir responsables des crimes de guerre commis contre notre peuple. »
Le bureau des médias gouvernementaux ont ajouté: « Le rapport publié sur l’agression requiert une attention particulière de la part du Procureur de la Cour pénale internationale » indiquant qu’il convient de s’appuyer sur lui pour ouvrir une enquête sérieuse sur les crimes commis et les ajouter à la série des précédents crimes et d’accélérer les mécanismes de responsabilisation qui se déroulent à un rythme très lent sans commune mesure avec la gravité et l’horreur des crimes commis.
Il a souligné la gravité de ce que le rapport fait référence concernant la mise en œuvre par l’occupation du crime de punition collective contre notre peuple dans la bande de Gaza pendant l’agression notant que ce crime est le reflet de la politique et du crime du blocus imposé à Gaza depuis plus de 16 ans ce qui nécessite une action urgente de la part de tous les organismes internationaux pour mettre fin au blocus et permettre aux habitants de Gaza d’exercer leurs droits humains fondamentaux.
L’occupation a lancé une agression surprise contre la bande de Gaza à l’aube du mardi 9 mai et a duré 5 jours au cours desquels les bombardements aériens et d’artillerie contre des maisons des citoyens des terres agricoles et des installations ont fait 34 morts dont 6 enfants des dizaines de blessés en plus de lourdes pertes matérielles dans divers secteurs.
