« Les pratiques brutales du gouvernement d’occupation extrémiste contre les détenues de la prison de Damon aujourd’hui et le pillage de leurs biens et leur transfert dans des cellules d’isolement sont du terrorisme organisé pratiqué par l’administration pénitentiaire pour se venger sur elles » a déclaré le mouvement des femmes du mouvement Hamas.
La responsable du mouvement Fatima Shurrab a déclaré dans un communiqué dont notre CPI a reçu une copie mardi que les mesures répressives de l’occupation contre les prisonnières sont une tentative désespérée de dissimuler son échec sécuritaire politique et militaire.
Elle a estimé que ces attaques ne devraient pas être tolérées soulignant que « derrière les prisonnières se cache une résistance honorable et libre qui n’accepte ni l’humiliation ni l’indignité ».
Elle a appelé les droits de l’homme et les institutions internationales en particulier le Conseil des droits de l’homme des Nations unies et la Croix-Rouge à intervenir d’urgence pour arrêter ce crime et à poursuivre les dirigeants d’occupation en tant que criminels de guerre.
