L’association Waed a dévoilé que le détenu Nasser Abu Hamid a perdu presque entièrement la mémoire à cause du cancer qui a touché ses cellules cervicales.
L’association qui défend les droits des détenus palestiniens a rapporté que les médecins ont décidé d’augmenter les antalgiques administrés à Abu Hamid pour calmer ses douleurs le résultat était négatif puisque le détenu passait plus de 20 heures en sommeil continu. Sa nutrition artificielle par intraveineuse a participé à lui faire perdre toutes ses forces ne pouvant plus bouger ses membres inférieurs.
La famille du détenu palestinien a assuré qu’il est agonisant et que les autorités d’occupation refusent toutes les propositions de le libérer pour mourir dans sa maison au contraire elles ont renforcé leurs mesures sécuritaires à chaque lieu où il était déplacé.
Abu Hamid est l’un des 600 détenus malades dont 23 sont atteints de cancer à des stades différents alors que 200 détenus souffrent de maladies chroniques et ont besoin d’une assistance médicale immédiate et d’un traitement spécial.
Les défenseurs des droits de l’homme et les familles des détenus parlent d’une politique israélienne de « mort lente » visant à condamner lentement les détenus palestiniens.
