Le chef d’état-major de l’armée d’occupation sioniste Aviv Kohavi a confirmé les résultats de l’enquête militaire menée par l’occupation sur l’opération Shuafat menée par le martyr Uday Al-Tamimi le 8 octobre au poste de contrôle militaire à l’entrée de le camp de Shuafat au nord de Jérusalem qui a entraîné la mort d’une femme soldat et blessé deux autres.
L’occupation a décidé de licencier trois de ses membres affiliés à l’unité de police « Border Guard » en plus de retirer l’un des officiers de son poste de direction dans l’unité pendant au moins un an et de diriger une réprimande sous la forme de « remarques directives » à un commandant de bataillon et à un commandant de compagnie des gardes-frontières qui a travaillé sur la sécurisation du point de contrôle de Shuafat pendant l’attaque.
L’enquête qui a été menée par le commandant de la zone de Jérusalem dans l’armée d’occupation a estimé que l’opération « aurait dû se terminer par l’arrestation ou la neutralisation des saboteurs » selon ses propos.
Il a conclu avec des échecs dans la nature de la direction au point de contrôle de Shuafat y compris « la rapidité et la qualité de la réponse et la fuite des forces opérant au point de contrôle pour affronter l’assaillant ».
L’enquête a également considéré que « la circulation des piétons au passage à niveau qui a lieu régulièrement représente un grave défaut » qui a rendu possible la circulation du martyr Uday al-Tamimi.
Il a souligné que « la réaction des militaires qui se trouvaient sur place n’a pas été celle attendue et n’est pas conforme aux valeurs de l’unité ».