L’organisation de défense des droits humains Al-Haq a demandé samedi au gouvernement de consensus palestinien de former un comité indépendant chargé d’examiner les dossiers de tous les travailleurs civils touchés par la décision de retraite anticipée forcée et de les entendre.
L’organisation a affirmé sa volonté de coopérer avec le comité et de lui fournir les témoignages documentés et les rapports qu’elle a obtenus à cet égard.
L’institution des droits de l’homme a exigé le respect des droits et libertés des employeurs qui ont été contraints de prendre une retraite anticipée.
La déclaration a montré que les documents qu’ils ont prouvent que les ordres de retraite forcée ont également affecté les jeunes qui souffrent déjà de la marginalisation.
L’organisation Al-Haq a également déclaré qu’il y avait de fortes indications que de nombreuses ordonnances de retraite forcée étaient injustifiées en raison de la discrimination et constituaient une punition pour avoir exprimé leurs opinions un droit garanti par la Loi fondamentale palestinienne.