L’avocat Khaled Zebarqeh a confirmé que le journaliste captif Mohammed al-Qiq subissait un traitement intensif après avoir mis fin à sa grève de la faim qui a duré 33 jours consécutifs.
Le journaliste Mohammed al-Qiq a rompu sa grève de la faim vendredi dernier après que le parquet de l’occupation a informé le tribunal militaire qu’il n’a pas l’intention de renouveler sa détention administrative qui se termine le 14 Avril date de sa libération.
L’avocat a déclaré lundi que le journaliste prisonnier al-Qiq est toujours incarcéré à l’hôpital Assaf Harofe dans les territoires occupés en 1948 et faisait l’objet d’un traitement intensif pour récupérer son état de santé normal où il a commencé à manger des boissons chaudes et à prendre des médicaments.
Zabarqeh a expliqué que les prisons d’occupation ont informé l’hôpital de leur intention de reprendre la détention du captif al-Qiq vers la clinique de la prison Ramleh mais les médecins l’ont refusée de façon catégorique soulignant qu’il avait encore besoin de temps pour terminer le traitement à l’hôpital.
Le journaliste détenu Mohammed al-Qiq a subi plusieurs évanouissements la dernière semaine de la grève et a souffert de plusieurs complications notamment des vomissements de bile et une toux de sang et des vertiges des maux de tête et une faiblesse générale.