« Le mouvement du Hamas travaille toujours sur le développement des armes de la résistance après avoir gagné en prestige lors de la première et la deuxième intifada et qui continue pendant le soulèvement de Jérusalem » a dit Khaled Mechaal président du Bureau politique du mouvement du Hamas.
Mechaal a confirmé que son mouvement met sur ses agendas le maintien des armes de la résistance et leur développement et leur transférer dans toutes les zones de la Palestine. Il a insisté sur le rôle de son mouvement avec les autres factions de la résistance dans le développement des outils de la résistance.
Lors d’une interview télévisée sur la chaîne Al-Aqsa il a démontré que la perturbation de l’équilibre des pouvoirs ne signifie pas compromettre les constantes et les droits palestiniens et qu’il n’y a pas de légitimité pour l’occupation israélienne.
Le chef du Hamas a déclaré que son mouvement poursuit le respect des principes nationaux et ne renoncera jamais à la terre.
Le document du consensus national en 2006 avait pour but de faciliter la réconciliation ce qui ne signifie pas de compromettre ou abandonner les constantes car les principes les droits et les aspirations de notre peuple ne sont pas le sujet de négociations a ajouté Mechaal.
La réconciliation palestinienne
Mechaal a confirmé lors de son discours l’importance de mettre fin à la division palestinienne et de travailler sur la réconciliation par la coexistence avec les différentes et travailler ensemble dans les espaces communs notant que son mouvement a travaillé dans l’environnement palestinien avec des partenaires dans la patrie où ils étaient d’accord certaines fois en désaccord d’autres fois.
Il a expliqué que ce dont nous avons besoin pour réaliser la réconciliation est de démanteler les questions complexes qui ne doit pas impliquer la subordination d’une partie à l’autre « Nous devons agir selon des dénominateurs communs dans la construction de la partie et de l’administration des affaires internes et politiques.
Il a ajouté: « Cela ne nécessite pas une congruence des programmes politiques mais il est nécessaire de travailler ensemble dans les espaces communs et d’élargir les réalisations ».
