« Le ministère du soi-disant de l’Intérieur israélien a commencé à adopter des mesures répressives qui limitent l’existence des Jérusalémites dans leur ville sainte comme des résidents seulement considérant que le titulaire de l’identité est juste un résidant de la ville et non pas un citoyen ce qui constitue un prélude à une nouvelle politique pour le déplacement des Jérusalémites à partir de la limitation de la résidence » a déclaré l’avocat Jérusalémite Ahmed el-Riwaydhi.
L’avocat el-Riwaydhi a affirmé mardi que les autorités israéliennes ont ajouté récemment le mot « résidant » dans les identités de certains jérusalémites qui avaient besoin de renouveler leurs identités ajoutant qu’elles ont déterminé leur délai d’entrée en vigueur ce qui permet ultérieurement à l’occupation de les renouveler ou non.
«Les autorités israéliennes ont prolongé le séjour pour un Jérusalémite à partir de 2013 jusqu’en 2023 et donc en 2023 il serait obligé de renouveler son identité ou bien sera expulsé de sa ville » a-t-il également précisé.
Il a ajouté en vertu de cette politique tout citoyen jérusalémite est tenu de prouver l’endroit de sa résidence dans tous les cas durant ces procédures au ministère de l’Intérieur israélien à Jérusalem et comprend la fourniture de preuves confirmant qu’il est un résident de Jérusalem tels que les factures d’impôt et la preuve de l’assurance et de la santé nationale entre autres.
Notons que les forces de l’occupation israéliennes ont commencé avec cette politique depuis le début de l’année 1994 où les rapports des organisations des droits de l’homme indiquent que près de 14 000 cartes d’identité ont été annulés sous prétexte d’avoir changé le statut de la vie (résidence).