Le membre du Bureau politique du Parti populaire palestinien Walid Awad à participé à des marches anti-régime égyptien pour l’isolement du président Mohamed Morsi il y a près d’une semaine sur la place Tahrir.
Il a apparu dans une photo que Awad a publié sur sa page personnelle sur le site de réseautage social « Facebook » le 4 Juillet dernier. Un jour après avoir publié la photo il a écrit sur son blog disant à ses amis « bonne rébellion. »
Le 7 Juillet dernier Awad a écrit sur sa page critiquant l’interférence du mouvement du Hamas dans les affaires intérieures de l’Egypte.
«Le soutien de Hamas aux Frères musulmans reflète négativement sur le peuple palestinien en particulier sur la bande de Gaza » a-t-il dit.
Le chef du parti populaire a présumé que l’expérience de l’Egypte avec le Hamas au cours de la révolution du 25 Janvier et plus tard a formé une grande préoccupation pour les dirigeants égyptiens après l’intervention directe du Hamas dans les affaires égyptiennes à l’époque et sa défense des Frères musulmans. Les Egyptiens rejettent les interventions du Hamas à cet égard selon ses allégations.
L’analyste politique Iyad Qarra a considéré que la participation d’Awad à des marches qui appellent au rejet du président Mohamed Morsi au Caire est une forme de contradiction permanente des positions de la gauche palestinienne.
Il a souligné dans une déclaration exclusive au «Centre palestinien d’information» aujourd’hui: «Dans la plupart des fichiers y compris leurs interférences dans les affaires arabes et leurs attitudes de l’Egypte la Syrie et le Liban ils se trouvent toujours impliqués (les leaders de la gauche palestinienne) en faveur de l’une des parties dans ces pays. »
L’analyste politique a appelé le gouvernement palestinien à Gaza à condamné Awad sur cet acte selon le texte de la loi palestinienne disant qu’un tel comportement nuit au peuple palestinien.
Qara a considéré la participation d’Awad aux marches comme une implication dans les affaires égyptiennes malgré que les factions de l’OLP accusent un des partis palestiniens d’intervenir dans les affaires palestiniennes en absence de preuve.