La Fondation palestinienne chargée de contrôler les violations et du maintien de saintetés islamiques dans les territoires occupés en 1948 a dévoilé que les autorités occupantes israéliennes ont utilisé au cours des 65 années des méthodes et des moyens méchants de destruction profanation et judaïsation contre les sanctuaires islamiques et chrétiens afin de changer la face réelle de la Palestine dans un incident qualifié de « Nakba ».
La fondation palestinienne a souligné que cette scène sinistrée « Nakba » (judaïsation profanation destruction) continue à ce jour sous les différentes branches d’une pire occupation contemporaine israélienne.
Elle a souligné: «Les lieux saints islamiques et chrétiens exposés à l’exploitation de l’oppression sévère influant souvent sur leur aspect extérieur et parfois sur leur sainteté profonde en dépit des tentatives des efforts continus et inlassables déployés par l’état occupant israélien chaque jour pour rayer ces sanctuaires de son histoire arabo-islamique ».
« 2 350 lieux saints jérusalémites islamiques et chrétiens ont été profanés par l’occupation israélienne dans les villes et villages détruits de la côte dans les territoires palestiniens » a révélé également la fondation selon ses données.
Le responsable chargé du dossier de la protection des lieux saints a expliqué dans l’organisation Abdul Majeed Ghaberna a confirmé que le projet d’enquête et de documentation des lieux saints islamiques et chrétiens dans les villages détruits en 1948 que sa première partie a été accomplie a conclu que 1350 lieux saints ont été documentés dont les tombes mosquées et églises et chapelles dans le nord de l’intérieur de la Césarée de l’intérieur palestinien latitude à l’extrême nord avaient été profanés démolis d’une manière complète ou partielle par les autorités occupantes israéliennes.
« La partie sud de l’intérieur palestinien comprend au moins 1000 lieux saints qui se sont exposés à la profanation alors que et l’étude a porté sur les villes arabes côtière Acre Jaffa Haïfa Lod et Ramla alors qu’elle n’a pas abordé les lieux saints dans le reste des villes et villages arabes qui avaient été vandalisés » a ainsi poursuivi Ghabarna.
Le spécialiste palestinien a souligné en outre que des centaines de tombes et des centaines de mosquées ont été détruites complètement et la partie restante a été profanée alors que des dizaines de mosquées se sont transformées en des restaurants des musées et des synagogues.
