Son frère Gihad a déclaré à notre CPI que les agendas de la famille n’incluent pas l’exil d’Aymen parce qu’il souffre depuis plusieurs mois et le résultat de cette souffrance doit être la libération vers sa maison alors qu’elle ne s’occupe pas aux nouvelles diffusées dans les médias sur son exil tandis qu’elle ne veut que la force du droit porté par Aymen via sa grève de la faim jusqu’à qu’il obtient sa liberté.
Gihad Charwana a ajouté que la famille continuera ses activités de solidarité avec son fils captif jusqu’à ce qu’il obtienne sa liberté.
Des médias avaient diffusé des nouvelles sur l’acceptation du captif Charwana sur une propostion israélienne de le libérer en échange de l’exil à la Bande de Gaza.