L’organisation de l’aide humanitaire en Turquie a annoncé que la république de l’Afrique du Sud a ouvert une enquête sur la cause du navire « Mavi Marmara » qui s’est exposé à une attaque israélienne en 2010 sur la base d’une demande d’une citoyenne journaliste qui était à bord du « Mavi Marmar » avec les militants internationaux pour briser le blocus israélien imposé sur la Bande de Gaza.
Selon le communiqué publié part l’organisation et dont le correspondant de notre CPI a obtenu une copie le mardi 25/12 La police de l’Afrique du Sud et le procureur général ont accepté la demande d’ouvrir une enquête criminelle fournie par la journaliste Gadeja Davids via son avocat en 2011.
La journaliste Davids (27 ans) a exprimé son contentement envers la décision prise ajoutant: « Ces développements ont renforcé ma croyance et ma confiance à la promesse fournie par l’Afrique du sud dans l’affaire de la protection des droits de l’homme ».
Ziad Batel l’un des avocats de Davids a déclaré que la journaliste et les autres militants se sont exposés au mauvais traitement par les commandos de la mairine israélienne ce qui a été considéré comme un crime de guerre contre l’humanité selon le premier et le troisième article de la Charte de Rome.
Les forces de commandos israéliens ont attaqué en 31 mai 2010 le navire « Mavi Marmara » qui conduisait la flottille de la liberté en destination pour briser le sévère blocus imposé sur la Bande de Gaza ce qui a abouti au martyre de 9 personnes alors que 50 autres ont été blessés.
