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Lassassinat dAbou Jihad révélé pour la 1ère fois par loccupant israélien criminel

jeudi 1-novembre-2012

  

Les services de contrôle militaire de l’occupant israélien ont permis de dévoiler des détails sur l’assassinat du leader palestinien Khalil Abou el-Wazir « Abou Jihad ». Les occupants israéliens ont révélé que l’unité « kisaria » branche du Mossad a exécuté l’opération a côté d’une équipe de l’état major connu sous le nom de « Spirt Matkal ».
 
Le journal hébreu « Yediot Ahronot » a publié dans son édition du jeudi le 31/10/2012 la photo et l’identité du soldat occupant israélien qui a tiré le feu sur Abou Jihad dans la capitale tunisienne.

Le journal a souligné que Nahoum Liv qui est mort dans un accident de la route en 2000 a mené l’équipe en Tunisie il est le fils du professeur israélien Zaief Liv qui est le premier officier croyant et pratiquant dans l’unité spéciale « Spirt Matkal ». Nahoum a brillé entre ses camardes de telle sorte qu’il a été désigné comme adjoint du chef de l’unité à cette époque et le ministre actuel Mouché Yaalanoun. 

Selon le journal les soldats occupants israéliens sont arrivés aux côtes de la Tunisie le 15 Avril 1987 où les attendaient les membres de l’unité de Kisaria et qui étaient arrivés avant deux jours.

Le nombre de ceux qui ont participé à l’opération était 26 personnes réparties en groupes Liv était à la tête d’un groupe de 8 personnes chargé de prendre d’assaut la maison de Abou Jihad. Les hommes travestis en touristes avaient marché une distance de 500 m vers la maison où se trouvait Abou Jihad et les membres de sa famille.

Liv et son ami travesti en femme ont ouvert le feu sur le garde qui se trouvait à l’extérieur de la villa avant que le reste du groupe ne les rejoigne pour assassiner le deuxième garde ils ont aussi ouvert le feu sur le jardinier.

Selon le récit de l’assassin tel qu’il a été rapporté par le journal les membres du groupe ont monté au deuxième étage là-bas un des membres a ouvert le feu sur Abou Jihad sous le regard de sa femme alors que d’autres s’étaient assurés de sa mort.

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