Awadallah a déclaré dans un communiqué de presse paru ce lundi que la grève « n’est pas un but mais un moyen pour réaliser les demandes du secteur du transport public qui est sur le point de s’effondrer en raison des prix élevés du carburant et la cherté de la vie« .
Il a ajouté : « Nous avions espéré que notre réunion au ministère des Transports et des Communications arrive à résoudre toutes les questions et en particulier la hausse des prix et les dépenses d’exploitation du secteur des transports publics des taxes sur le carburant et les assurances« .
Awadallah a attribué la responsabilité des pertes et des dommages subis par le secteur des transports au conseil des ministres de Ramallah considérant que ce secteur comme l’un des plus importants et des plus puissants. Il alimente les fonds publics et emploie des milliers de citoyens palestiniens. Il a souligné que le comité de dialogue tiendra une réunion jeudi prochain pour évaluer et étudier les événements futurs.
La principale revendication des syndicats du secteur des transports est de réduire le prix du carburant à cinq shekels.