Le Dr. Youssef Rizqa conseiller politique du Premier ministre a rendu hommage au déclarations du président égyptien Mohamed Moursi à l’appui de la réconciliation.
Rizqa a déclaré dans un communiqué publié aujourd’hui par le Bureau d’information du Secrétariat Général de la Présidence du Conseil des ministres que ce qui est intéressant dans les déclarations du président de la République arabe d’Egypte Dr. Mohamed Moursi est son insistance sur l’appui à la question palestinienne et de la réconciliation et en annonçant le soutien et l’appui devant les dirigeants du haut Conseil militaire et ceux des services de sécurité et les dirigeants révolutionnaires et civils les représentants du peuple égyptien ce qui confirme que le président Moursi provient de l’héritage national du peuple égyptien qui a toujours souligné et depuis la Nakba en 1948 et jusqu’à présent qu’il est toujours pour la cause palestinienne et les droits du peuple palestinien et que l’Egypte ne renoncera pas à son rôle de leadership dans la protection de la cause palestinienne et les espoirs du peuple palestinien.
Il a ajouté: « Il est intéressant de considérer aussi ce qu’il a déclaré à propos de la réconciliation palestinienne ce qui signifie de rétablir l’unité du peuple palestinien sur la base que l’unité du peuple palestinien et le rôle égyptien efficace et nouvel sont les deux supports pour les droits du peuple palestinien relevant de la politique d’une égyptienne nouvelle exprimée par le président Moursi dans son discours que la dignité de l’Egypte est intouchable et que l’ère de la dépendance politique de l’Etat pour les grandes puissances au détriment de la question égyptienne est terminée ».
Dr. Rizqa a confirmé que les remarques du président égyptien laissent aspirer beaucoup de chose en faveur de la cause et droits palestiniens tout en indiquant que la réconciliation n’a pas encore trouvé sa voie vers l’application et que les campagnes d’arrestation en Cisjordanie occupée et la grève de la faim illimitée entamé par les détenus dans les prisons de Ramallah qui ont reçu des décisions judiciaires d’être libérés et n’ont pas été mises en œuvre par les services de sécurité avaient offensé les chances de parvenir à la réconciliation de toute urgence.