Le bloc des journalistes palestiniens a confirmé qu’il n’accepterait pas de refaire la même comédie qui a eu lieu en février 2010 pendant les élections des journalistes. Le bloc accuse le bureau des journalistes affiliés au mouvement du Fatah de l’échec des négociations ayant rejeté l’initiative du réseau des associations civiles.
Ajoutant : « Nous espérons que notre partenaire assume ses responsabilités ».
Durant la conférence de presse tenu dans la bande de Gaza avec la participation d’un certain nombre de journaliste Abou Hin a appelé le réseau d’organisations civiles en tant que médiateur à prendre une position claire et explicite de la partie qui a refusé de signer l’accord à la dernière minute.
« Nous étions très proches de signer un accord générale qui va mettre fin au désaccord des journalistes palestinien et organiser des élections unifiées au cours du mois de Mars afin de surpasser une mauvaise période de division » a-t-il poursuivi.
Abou Hin a appelé la fédération internationale des journalistes la fédération des journalistes arabes et les institutions arabes et étrangères à réfuter les élections organisées par le bureau des journalistes du mouvement Fatah en partant du principe de ce qui se fonde sur les mensonges est faux tant qu’il ne représente pas la majorité des journalistes palestiniens.
Abu Hin a considéré les élections précédentes comme une scène de théâtre dont les hommes de la politique et de la sécurité ont joué le rôle des acteurs cependant ils ont éliminé les journalistes Gazaouis qui étaient les premiers à demander l’amélioration des conditions du syndicat.
De sa part le membre au sein de la direction administrative du bloc des journalistes Wissem Afifa a souligné que l’unification du corps des journalistes est une exigence de tous les blocs et les directions travaillant dans ce domaine en réaffirmant: « cette fois nous n’allons pas rester silencieux comme en 2010 car nous avons donné plusieurs opportunités et dont la dernière celle des organisations civiles que le bureau des journalistes de Fatah les a refusées ».
