Le Dr. Ahmed Bahar premier vice-président du Conseil législatif a décrit l’intention des autorités occupantes israéliennes de discuter et approuver un nouveau projet de loi appelant à la prévention de l’appel à la prière dans les mosquées dans les territoires occupés en 1948 comme une « mesure raciste » soulignant que ceci est une annonce de guerre contre l’Islam et les Musulmans en premier avant d’être une guerre contre les Palestiniens.
« Le projet de loi proposé actuellement à l’agenda de la Knesset et le gouvernement sioniste est un crime religieux politique éthique humanitaire et culturel ainsi qu’une tentative de dépouiller progressivement les Palestiniens dans les territoires palestiniens occupée de leur identité religieuse et leurs aspects d’appartenance religieuse en violation à la loi divine les règles humanitaires et la Conventions de Genève et des chartes des droits de l’homme » a insisté Bahr dans un communiqué publié le samedi 10/12.
Bahr a considéré que cette tentative sioniste veut provoquer une guerre ouverte avec les Palestiniens le fait que la prévention de l’appel à la prière est une décision anti-religieuse visant leur Islam soulignant que le régime sioniste se dirige « dangereusement vers l’extrême de la pensée d’extrême droite sioniste » et ouvrira la voie vers une confrontation religieuse violente avec le monde musulman dans son ensemble.
Le dirigeant palestinien a appelé « nos frères et nos fils Palestiniens à l’intérieur des territoires occupés de lutter pleinement contre cette tendance sioniste raciste et continuer dans la constance et la stabilité sur les positions les principes et les droits des Palestiniens non négociables » tout en assurant qu’ils ne sont pas seuls face à l’entité sioniste odieuse mais que notre peuple palestinien à Jérusalem en Cisjordanie dans la Bande de Gaza et tous les lieux de refuge et de la diaspora ainsi que la nation arabo-islamique dans son ensemble se dresse avec eux et les soutiennent encouragent et d’ouvrir leurs horizons de coopération et de la victoire jusqu’à la libération de la terre et l’expulsion de l’occupation.
