Un centre juridique palestinien à Jérusalem a accusé les autorités occupantes à intensifier leurs attaques et violations du droit des Jérusalemites « Maqdissins » dans la vie par l’assassinat perpétré par leurs soldats contre deux jeunes de « Kalandia » au début du mois dernier et une patrouille militaire qui a délibérément heurté un citoyen de la ville de « Sour Baher » au sud de la ville tandis qu’il se rendait à travailler à la nuit.
L’unité de recherche et de documentation au centre «Jérusalem des droits sociaux et économiques» a révélé le mercredi 21/9 dans son rapport enregistrant les violations de l’occupation au cours du dernier mois que le mois d’août passé a témoigné une plus grande violation de la liberté de culte et le droit des citoyens d’exercer leurs rites religieux en coïncidence avec le mois béni de Ramadan en imposant des restrictions à l’entrée à Jérusalem et à l’accès à la mosquée « el-Aqsa ».
« Les autorités occupantes ont ratifié sur de nouvelles constructions de colonies juives dans les territoires palestiniens la démolition de maisons et de tenter de saisir l’immobilier et la poursuite des actes de maltraitance commis par les agents e soi-disant de sécurité et les civils extrémistes sionistes au sein des Maqdissins et l’expansion des activités judaïques dans la ville sainte et l’intensification des arrestations et des attaques contre des citoyens surtout les enfants » a également souligné le rapport.
Le rapport fait état de décès de 3 des martyrs Jérusalemites au cours du mois d’août dernier deux d’entre eux tués par l’armée sioniste lors de son assaut sur le camp de «Kalandia » et le troisième est le martyr de la ville de « Sur Baher » après avoir été écrasé délibérément par une patrouille de gardes-frontières.
En outre que le rapport a indiqué qu’au cours de cette intervalle du mois ciblé la municipalité de Jérusalem de l’ennemi occupant a effectué des opérations de démolition des maisons Maqdissins et de la violation de leurs biens en les privant du droit au logement où les bulldozers municipaux ont démoli la maison de « Majid rugby » dans le quartier de « Bouk’a » sous prétexte du manque de permis de construction.
