Un bilan sioniste a rapporté ce jeudi matin 17/06/2011 que quatre sionistes ont trouvé la mort alors qu’environ 90 autres ont été blessés suite à une forte explosion qui a secoué la ville côtière de Netanya (dans les territoires occupés en 1949) vers minuit. Elle a provoqué la destruction d’une partie importante d’un bâtiment qui se compose de plusieurs étages. Les premières investigations mentionnent que des malfaiteurs se trouvent derrière cette explosion.
Des sources officielles ont révélé que l’attentat qui s’est produit dans un immeuble qui se compose de quatre étages comportant environ de 150 chambres et des locaux commerciaux a provoqué une explosion d’une citerne de gaz de ville ce qui a engendré la mort d’un homme et de quatre femmes en plus de 90 blessés.
Les investigations de la police sioniste rapportent que l’explosion s’est produite dans le rez-de-chaussée provoquant des dégâts importants dans l’immeuble. Ces investigations précisent que le rez-de-chaussée comporte plusieurs locaux de commerce et des restaurants dont la plupart appartiennent à des familles impliquées dans le crime organisé.
Pour sa part le service du génie civil de la municipalité de Netanya a demandé la fermeture totale de l’immeuble craignant son effondrement alors que tous les appartements ont été évacués. Les recherches des disparus devraient se poursuivre jusqu’à cet après-midi.
La police israélienne a déclaré avoir arrêté un sexagénaire habitant la ville soupçonné d’avoir coupé délibérément un tube dans le réservoir de gaz ce qui a causé l’explosion. Un certain nombre de commerçants ont témoigné qu’ils ont vu l’après-midi de jeudi cette personne en train de couper le tube avant d’être arrêté pour être ensuite libéré mais il a été arrêté de nouveau après l’explosion.
Des propriétaires des magasins ont évoqué l’existence d’une concurrence acharnée entre deux hommes d’affaires dans le bâtiment et il semble que l’un d’eux avait embauché la personne qui a coupé le tube la police a également arrêté les chefs d’entreprise de gaz « Amisraghaz » soupçonnés de « négligence ayant engendré la mort. »
