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Loccupation empêche lentrée de vêtements et de chaussures pour les détenues palestiniennes

lundi 10-janvier-2011

La « Fondation Youssef al-Seidiq pour les affaires des détenus » a déclaré d’ans un rapport publié aujourd’hui le lundi 10 janvier que les détenues palestiniennes souffrent de la forte hausse des prix des besoins à la Cantine dans laquelle elles sont contraintes d’acheter notamment les chaussures.

Le rapport a attiré l’attention sur le fait que par le passé les familles des prisonniers palestiniens pouvaient faire entrer des chaussures aux détenues mais la direction des prisons leur a interdit pour obliger les captives d’acheter de la cantine où les chaussures atteignent 300 Shekels (80$). De plus la cantine manque de nombreux produits féminins et interdit aux familles de leur faire parvenir ce dont elles ont besoin.

L’administration des prisons sionistes a récemment limité la quantité des vêtements qui seront permis d’entrer à chaque détenue.

Le rapport a ajouté que les captives palestiniennes notamment dans la prison de Damon souffrent d’un manque d’eau potable qui a un mauvais goût et une couleur anormale forçant les détenues à acheter de l’eau à boire de la cantine qui est très coûteuse.
 
Les salles de visites des familles sont incommodantes il n’y a pas de téléphone mais un plastique épais avec des trous à travers lesquels les détenues sont obligées de crier quand elles parlent avec leurs familles.

La Fondation a rapporté des détenues dans la prison sioniste « Damon » et « Hasharon » leur appel au CICR pour les aider à cause du retard important dans l’entrée et la sortie des lettres que l’occupation ne permet qu’une fois tous les 3 mois.

Les détenues dans la prison de Hasharon souffrent également de la propagation des insectes ainsi que de la prolifération des rats qui ont endommagé une partie de leurs vêtements.

La Fondation a souligné le rejet des autorités de l’occupation sioniste à faire entrer des médecins pour soigner les détenues malades ainsi que la négligence de leur situation ce qui aggrave leur souffrance d’autant plus que des détenues souffrent de maladies chroniques et graves.

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