«Les prisonniers sont très contents de l’arrivée du mois de Ramadhan mais ils se plaignent de leur situation désastreuse dans toutes les prisons israéliennes à cause des restrictions et mesures oppressives renforcées prises par les autorités sionistes notamment après la flambée des prix dans les cantines pendant le mois sacré de Ramadhan» a dit un prisonnier libéré.
Il a ajouté : «l’interdiction des visites aux familles des détenus empire la situation et oblige les prisonniers d’acheter leurs besoins de ces cantines qui imposent des prix irraisonnables».
Il a indiqué également que les captifs dans les prisons désertiques du Neguev souffrent énormément de la haute chaleur où les cellules sont pareilles à des fours et lieux de tortures après l’interdiction d’utiliser des ventilateurs ou des climatiseurs et surtout en les privant des quantités d’aux nécessaires.
Enfin il a souligné que les captifs exhortent les institutions et organisations des droits de l’homme notamment la Croix Rouge de presser sur les autorités de l’occupation pour mettre fins à ces mesures oppressives israéliennes inhumaines et permettre aux captifs de faire leurs prières nocturnes de Ramadhan dans des conditions convenables hors des cellules surpeuplées et insupportables.