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Rachaq : les élections doivent faire partie de lentente

jeudi 27-août-2009

Le mouvement du Hamas n’accepte l’organisation des élections législatives et présidentielles que dans le cadre des dialogues palestiniens et la réalisation de l’entente nationale et non pas selon les appels individuels du mouvement du Fatah.

Le membre du bureau politique du mouvement Hamas Ezzat Rachaq a déclaré le mercredi 26/8 dans ses déclarations de presse que le mouvement du Fatah continue de paralyser les séances du dialogue national en soulignant que cela vient dans le cadre d’un plan programmé.

Il a ajouté : « nous avons remarqué que Mahmoud Abbas et le mouvement du Fatah empêchent l’arrivée à un accord durant les dernières tournées du dialogue dans le cadre d’un plan général qui vise à faire échouer le dialogue national palestinien et limiter toutes les questions aux élections alors que la vérité dit qu’ils ne veulent pas d’entente qui finira les désaccords palestiniens internes mais des élections selon leurs désirs ».

Rachaq a affirmé l’attachement du mouvement du Hamas au dialogue qui est le seul moyen pour finir les désaccords et réaliser l’entente en disant : « nous affirmons notre attachement au dialogue national palestinien et notre travail avec la médiation égyptienne en conséquence nous disons qu’on doit déterminer les dialogues et nous souhaitons que les leaders du mouvement du Fatah prennent leur responsabilité pour servir les hauts intérêts du peuple palestinien et réaliser l’entente nationale.

Il a souligné que les élections faire partie de l’entente en disant : « nous acceptons les élections dans le cadre de l’entente nationale tout en refusant que Mahmoud Abbas organise les élections selon ses désirs.

Rachaq a condamné fortement la tenue du conseil national dans la ville de Ramallah en affirmant qu’elle représente une frappe aux efforts égyptiens et au dialogue en déclarant que son mouvement considère que la séance du conseil national qui a eu lieu hier mercredi 26/8 dans la ville de Ramallah est illégitime et nous ne sommes pas engagés à ses résultats.

Il a ajouté que la tenue des séances du conseil national sous l’occupation représente un pas dangereux qui vient dans le cadre du renoncement au droit de retour des réfugiés palestiniens.

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