Le membre du bureau politique du Hamas Mohamed Nazzal a porté les interventions étrangères responsables de l’échec du consensus palestinien en attirant l’attention que le Hamas ne peut pas accepter la reconnaissance de l’occupation comme la seule issue pour réaliser la réconciliation palestinienne.
Lors d’un festival très massif intitulé « la martyre et les martyrs » organisé le vendredi 8/5 par le mouvement du Hamas au camp des réfugiés palestiniens d’Al Yarmouk à Damas Nazzal a révélé que l’échec du dialogue inter-palestinien après plusieurs rencontres revient aux interventions étrangères en espérant que les palestiniens puissent parvenir à la réalisation de la réconciliation nationale durant la prochaine tournée en mi-mai prochain.
Nazzal a souligné que la ministre américaine des affaires étrangères a informé le chef des renseignements égyptiens Omar Souleymane au cours de leur dernière rencontre que tout gouvernement prévu palestinien devra accepter les conditions du Quartet dont la reconnaissance de l’occupation israélienne.
Nazzal a minimisé des résultats des appels qui visent à presser sur le Hamas en condamnant et avertissant des déclarations du premier ministre sioniste Benjamin Netanyahu et son ministre terroriste des affaires étrangères Avigdor Lieberman qui ignorent tous les appels internationaux en continuant de menacer les Palestiniens exécuter les plans coloniaux et aggraver la tragédie des palestiniens dans les territoires palestiniens occupés en 1948 à travers les expulsions la politique de punition collective la destruction des maisons et les confiscations de leurs terres.
« Le monde doit assumer ses responsabilités et appuyer les droits palestiniens notamment la reconstruction des infrastructures de Gaza détruites par l’entité sioniste ainsi que la levée durable du blocus arbitraire » a souligné le membre du bureau politique du Hamas en confirmant que l’entité sioniste est une entité raciste discriminatoire tout en saluant les résistants Palestiniens et les martyrs ainsi que la patience historique de leurs familles face aux crimes de l’occupation.
