Les familles des captifs ont exhorté le lundi 7/1 lors de leur Sit-in hebdomadaire devant le siège de la Croix-Rouge à Gaza toutes les institutions des droits de l’homme ainsi que les sociétés civiles à protester massivement en envoyant des messages de contestation aux négociateurs afin de les informer que la question des captifs est primordiale notamment la libération des captifs qui ont passé des peines très élevées.
Pour sa part l’un des dirigeants du mouvement du Djihad islamique Cheikh Khedr Habib a condamné fortement les escalades sauvages de la direction des prisons sionistes contre les captifs palestiniens qui visent à affaiblir la volonté et le moral des détenus palestiniens qui s’attachent à leur droit légal et à leur liberté tout en appelant la direction de l’autorité palestinienne à arrêter ses négociations inutiles et hasardeuses avec les sionistes qui utilisent cela pour réaliser ses crimes contre les citoyens palestiniens.
Il a appelé également toutes les institutions internationales juridiques et des droits de l’homme à prendre leurs responsabilités pour arrêter les crimes de l’occupation et alléger les souffrances des captifs dans les prisons israéliennes.
De sa part le porte-parole des comités de la résistance populaire Abou Moudjahid a affirmé que les factions palestiniennes qui détiennent le soldat israélien (Chalit) insistent sur leurs exigences pour la libérer tous les captifs notamment les captives et les détenus qui ont passé des peines très élevées en condamnant au même temps les engagements des services sécuritaires d’Abbas qui avaient libéré trois sionistes après leur arrestation dans les territoires palestiniens.
Dans le même contexte le porte parole médiatique de l’association des martyrs et des captifs Mouhjat Al Qalb a salué fortement la position commune et remarquable de tous les captifs palestiniens face aux crimes de l’occupation.
Il a porté la direction des prisons sionistes responsable de la vie des détenus dont les captives qui entament une grève de faim (Mouna et Al Halchoum) surtout après la détérioration de leur état de santé.
