Le rapport hebdomadaire de l’organisation internationale pour les droits de l’homme dans les territoires palestiniens a rapporté que les forces de l’occupation ont tué plus de 44 Palestiniens au cours du mois d’octobre 2007 seulement.
Le rapport a dit que les forces occupantes ont tué un enfant de moins de 18 ans et que le captif Mohammed Safi Mohammed Al-Achkar est tombé en martyre à cause de la négligence médicale et de la torture dans la prion israélienne du Neguev.
Le rapport a ajouté que la citoyenne Zina Fadi Moura’i est morte après avoir été blessée à la tête lors d’une incursion des forces occupantes à Tulkarem.
Le rapport a souligné que les forces de l’occupation israéliennes ont tué 32 citoyens palestiniens dans la bande de Gaza au cours du mois dernier seulement en soulignant que le nombre de martyrs palestiniens a augmenté le mois dernier à cause de l’escalade des forces occupantes contre les résistants les activistes de l’Intifada et les civils palestiniens. 21 Palestiniens ont été assassinés dans la bande de Gaza 2 dans la ville de Naplouse et 4 dans la ville de Jénine.
Le rapport a considéré que ces crimes et assassinats affirment que l’occupation utilise deux langages le premier étant médiatique prétendant appeler à la paix le deuxième étant sur le terrain se traduisant par des assassinats des incursions et des arrestations contre les Palestiniens tout en trompant le monde.
Les forces occupantes ont arrêté le mois dernier plus de 350 citoyens palestiniens dont plusieurs recherchés leaders des factions activistes de l’Intifada maires et membres des communes ainsi que plusieurs ouvriers et un grand nombre d’enfants et de femmes selon le rapport juridique qui a souligné que ces arrestations affirment que l’occupation a multiplié ses violations et agressions contre les Palestiniens.
L’organisation internationale qui est solidaire avec le peuple palestinien a condamné l’escalade des forces occupantes contre les Palestiniens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza en appelant la communauté internationale et les organisations des droits de l’homme et chargées des affaires des captifs à prendre leurs responsabilités en obligeant l’occupation à respecter les lois et conventions internationales.
