Le rapport a dit que les Israéliens enterrent les corps des martyrs dans des tombeaux collectifs au cimetière d’Al-Arkam (Nombres)sans respecter les règles religieuses et que cet endroit n’est pas préparé pour l’enterrement.
Farawana a dit que cette politique représente une violation de tous les droits humains moraux et internationaux par laquelle l’état de l’occupation a interdit depuis 1967 d’enterrer les martyrs palestiniens sur les règles de la religion islamique dans un acte de vengeance et de punition générale contre les corps des martyrs et de non-respect des sentiments de leurs familles.
Dans le même contexte le journal hébreu Yediot Ahronoth a dévoilé en janvier 1994 l’existence de deux cimetières de martyrs palestiniens l’un étant situé dans une région militaire israélienne fermée entre la ville d’Ariha et le pont de Damia dans la vallée de la Jordanie.
On note que les forces occupantes détiennent des dizaines de corps de martyrs palestiniens et arabes comme une sorte de punition sous prétexte qu’ils ont exécuté des opérations martyres contre des soldats israéliens.