Les sources ont déclaré le mercredi 7/10 que cette nouvelle décision a été prise après l’intervention de la Libye auprès du Conseil de sécurité à l’ONU qui a répondu favorablement à un débat urgent sur le rapport de Goldstone que le conseil des droits de l’homme à Genève avait reporté jusqu’au mois de mars prochain suite à des pressions israélo-américaines sur Mahmoud Abbas qui avait ordonné à son délégué de reporter l’adoption de ce rapport.
Dans ce contexte le gouvernement de Haniyeh a demandé à la Libye actuellement membre du conseil de sécurité de l’ONU à présenter le rapport de Goldstone à la cour pénale internationale chargée des affaires sociales humaines et culturelles pour le débattre en présence du juge Goldstone lui-même.